dimanche 15 mars 2009

Saison 3 – Episode 6


Label de 4 pistes a des yeux de velours
Bonjour agent leCurLing. Votre mission vous mènera de motown à soulville pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession de ces labels et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.
Nom d’un doublecheese ! D’après la B.S.T., l’oncle Sam avait besoin de l’agent leCurLing, car le bruit courrait que le monde libre était menacé. Maître en stratégie d’attaque, le Colonel Shure avait donné toutes les recommandations d’usage et en premier lieu comment différencier un ballon de foot américain d’un ballon de soccer qui n’est autre que notre bon vieux ballon de foot habituel car l’autre se rapproche de celui de la sphère de l’ovalie sans prendre en compte le sens de la passe… enfin il fallait se méfier quoi. 

Houlà, il valait mieux avoir le cœur bien accroché dans cet ascenseur qui gravissait à vive allure les étages de l’immeuble de l’Entreprise Local Vérifiant les Instances Sécurisées soit la célèbre E.L.V.I.S., et sûr qu’il ne fallait pas être sujet au vertige lorsque celui-ci stoppa au 328ième étage de la tour. La porte s’ouvrit sur une immense salle de réunion. Là, l’agent leCurLing fut délicieusement accueilli par Mlle Housewife, qui lui présenta les membres éminents de l’ELVIS qui attendaient notre héros pour lui expliquer la situation : « Les fleurons du groove black soul américains sont pillés de leur disques d’or par le démoniaque Goldfineteub, grand amateur d’or et ami du cacophélon cacophonor, et tous ces vols créent le mécontentement de la communauté afro-américaine, réactivant leur révolte, les combats urbains et en opposition, la bêtise raciste des Konnards Komplétement Kon ». Alors avant que le pays ne se retrouve à feu et a sang, l’ELVIS demandait à notre valeureux agent de ramener le calme et la sérénité sur le territoire Américain (ça vous en bush un coin). Une fois les explications données, Mlle Housewife invita notre héros à le suivre dans un restaurant branché de Manhattan afin de lui donner toutes les informations pour le bien de sa mission.
Alors que l’agent leCurLing parcourait d’une main, à la fois douce et ferme, le dos lisse et légèrement glacé du… menu de ce lounge restaurant, Mlle Housewife sortit de son sac à main un paquet de cigarettes qui s’avéra être en réalité un micro-ordinateur. 
La première des victimes de Goldfineteub était le label Stax, créé à Memphis en 1957 par Jim Stewart et Estelle Axton sous le nom de Satellite Records. Elle prendra le nom de Stax par la contraction des deux noms ‘Stewart et AXton’. Le label a ,sous contrat, des artistes soul funk comme Otis Redding né le 9 septembre 1941 à Macon, il décédera le 10 décembre 1967 dans un accident d’avion, Isaac Hayes né le 20 août 1942 à Covington dans le Tennessee et qui signa avec le label en 1964, associé à David porter il compose des tubes pour les Sam and Dave tel que ‘soul man’ ou ‘Hold on a comin’ et monte le groupe Soul Children, Rufus Thomas et le groupe de session maison Booker T. and the MG’s dont la carrière fut marquée par le tube green ognons. Le label a cessé toute activité depuis 1975 mais depuis, il existe un Stax Museum of American Soul Music qui se trouve sur le site original de Stax Records.
Mais comment mettre fin aux agissements de l’effroyable Goldfineteud ? cet odieux personnage avide d’or.

Il était for tôt lorsque l’on toqua à la porte de la chambre d’hôtel de notre intrépide agent. LeCurLing ouvrit à la délicieuse Mlle Housewife. Mais celle-ci était désappointée : on avait trouvé un grand nombre d’artistes soul funk morts, recouverts d’une peinture couleur or et leur disque d’or avait disparu, mais ce n’était pas tout, car se désespéra Housewife, les nombreux disques d’or du label de Berry Gordy, Motown avait disparu. Le célèbre label Motown créé en 1959 à Detroit, la Motor Town, la capitale de la production automobile dont le nom du label est issu : Motown égale la contraction de Motor Town.Le projet de Berry Gordy est de composer des titres qui plaisent tout autant au public noir qu’au public blanc. Parmi les artistes de la Motown, on trouve Diana Ross et les Supremes, les Four Tops Marvi Gaye, Steve Wonder, the Temptation et les jackson Five qui tous enregistrent avec le groupe maison les Funk Brother. Les différents labels outre Motown sont Tamla et Gordy.
La situation devenait grave, il fallait vite agir car au-dehors, la révolte grondait, des marches étaient organisées pour crier le mécontentement de voir ainsi disparaître le patrimoine afro-américain et tous ces excellents titres soul funk. Il était grand temps pour l’agent leCurLing d’intervenir.

L’agent leCurLing gara la camionnette de plombier devant la Goldentour, et déguisé en plombier sonna à la porte. Après quelques instants, un majordome vint lui ouvrir la porte. L’agent leCurLing annonça à l’homme de maison qu’une fuite avait été signalée dans la Goldensalledebain, ce dernier amena notre héros sur les lieux de la soi disante fuite, avant de s’éclipser. Ainsi l’agent leCurLing avait pu infiltrer la demeure de l’ignoble Goldfineteub.
Notre admirable agent sortit de sa besace de plombier un pistolet à air dans lequel il amorça une ventouse où était reliée une corde, puis passant le bras et la tête par le fenestron de la Goldensalledebain, l’agent leCurLing visa la fenêtre de l’étage supérieur, puis escalada jusqu’au balcon de cet étage. Une fois arrivé, l’agent leCurling ouvrit la porte-fenêtre et pénétra le Goldsalon où étaient entreposés tous les disques d’or subtilisés par Goldfineteub. Mlle Housewife avait raison, ils étaient tous là, exposés au mur de la pièce. Mais ce fut à ce moment précis que la porte s’ouvrit… l’infâme Goldfineteub apparut entouré de ses Goldcompagnes tout d’or vêtues. Ebloui, notre héros ne vit point le coup de crosse que lui infligea par-derrière le majordome. 
L’agent leCurLing retrouva ses esprits, attaché sur une chaise au bord de la Goldpiscine.
‘Vous voilà en bien mauvaise posture mon cher leCurling, votre stratagème de plombier était bien tenté mais une plomberie en or ne peut pas avoir de fuite. Une erreur fatale pour vous’. Bon dieu, ce vil Goldfineteub avait raison, l’erreur avait coûté la perte de notre héros. Tout en retirant son peignoir en lamé or qui fit découvrir un slip de bain en or véritable, l’ignoble Goldfineteub se demandait comment il allait en finir avec notre héros : noyé dans un bain d’or ? coulé dans une plaque d’or ? les idées ne manquaient pas à Goldfineteub.

Alors que les quatre Goldcompagnes en bikini pur or, buvaient l’or de la terre dans de somptueux gobelets en or, et que le scélérat Goldfineteub en était encore à ses recherches pour éliminer notre héros, un bruit d’hélicoptère se fit entendre, c’était la délicieuse mlle Housewife qui débarquait pour aider notre héros. Sautant sur des revolvers ou des mitraillettes en or, les Goldcompagnes et mlle housewife échangèrent un feu nourri. Notre héros, d’un mouvement brusque, se détacha de sa chaise et choppa au passage le félon Goldfineteub qui essayait de fuir.
Un combat sans merci débuta. Le vil Goldfineteub frappait de son poing américain en or, un coup bas fit s’ébranler notre héros qui se releva, lorsque Goldfineteub touchait avec son poing d’acier doré il faisait mal. Pendant ce temps, la délicieuse Mlle Housewife pétaradait de toute part pour vaincre les Goldcompagnes.
Le bord de la piscine n’était plus qu’un champ de bataille, notre héros était mal en point, prêt à tomber dedans et Golfineteub allait donner le coup de grâce en prenant de l’élan mais au moment de recevoir le coup, l’agent leCurLing se décala et Goldfineteub tomba à l’eau, son slip de bain moulant en or véritable entraîna le mauvais homme au fond de l’eau qui périt noyé. Une dernière bulle arriva à la surface lâchant un ‘ahhh !!!!!! je suis m’or… euh… mort’.

Ainsi le scélérat n’avait pu voler les disques d’or d'Atlantic records, le label fondé en septembre 1947 par les frères Ertegün, Ahmet et Nesuhi associé à Herb Abramson et qui fut un des acteurs majeurs de la soul et du jazz dans les années soixante avec des artistes tels que Ray Charles, The Drifters, Roberta Flack, Aretha Franklin, Wilson Pickett, John Coltrane ou Charles Mingus.

Une fois l’infâme Goldfineteub mis hors état de nuire et les vols de disques d’or arrêtés, le calme réapparut dans les rues des grandes cités, pour la plus grande joie de l’ELVIS, qui cherchait partout notre vaillant agent et Mlle Housewife pour les féliciter, mais l’agent profitait de cette fin de mission pour se glisser dans la moiteur et l’humidité de la longiligne et avenante… piscine des appartements de Goldfineteub.

Franche touche de french touch pour cette version 3.6 avec marcel zanini et jacky giordano (oui celui avec qui on finsé la version 3.5) dans aïe aïe aïe les nanas puis monsieur eddy 'le schmoll' avec c'est facile le masq des catharsis suis la dernière séance, un grand classique de l'eurogroove blaxploitation avec ok chicago de resonanace (plus la peine de dire de qui c'est non ?) ensuite tous aux urnes pour la danse des élections d'electric arena et on fini avec antoine la taule euh l'atoll avec la version instrumentale de woopy wip.

dimanche 1 mars 2009

Saison 3 – Episode 5


Le reggae c’est du rock, j’s’t’ai dit !
Bonjour agent leCurLing. Votre mission vous mènera en Jamaïque pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession du sound system et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.
A l’annonce de cette nouvelle mission, un épais nuage de fumée s’échappa au-dessus de Price-Fisher, un épais nuage qui sentait bon l’herbe fraîchement coupée. L’agent leCurLing comprenait mieux maintenant pourquoi ce bon Price-Fisher insistait pour passer régulièrement la tondeuse dans le parc du château de Marily, la résidence de notre intrépide agent.

La jeep de la police jamaïcaine venait de se garer dans la cour et le lieutenant-colonel Eddy Calypso accueillit notre héros sur le parvis du commissariat. « La Jamaïque vous remercie de venir lui prêter main-forte, cher agent leCurLing » lui dit le lieutenant-colonel en l’invitant à rentrer dans son bureau. OUI mais pourquoi l’agent leCurLing devait aider la police jamaïcaine ? Quel était le nouveau fléau trouvé par cacophonor pour endaubtriner la planète ? Mais avant de développer le mal qui rongeait son île et de mettre au parfum leCurLing, le lieutenant-colonel Calypso fit rentrer dans la pièce une jeune femme qui allait guider notre héros dans la jungle de Kingston, cette jeune policette… euh… Polissonne… enfin cette jeune femme de la police, cette prénommée Zita Rubadub.
D’après le lieutenant-colonel, les sbires de Cacophonor avaient pris le contrôle de la vente d’herbe et en avaient profité pour submerger le marché d’une infâme ganja qui n’avait pour effet que d’endormir et de rendre amorphe l’ensemble du peuple. QUOI ! s’écriât leCurLing, le vil cacophélon a transformé les rasta rocket en jah rastafourien !
Mais le plus dramatique d’après la gardienne de la paix Miss Rubadub, c’était que cette mauvaise ganja faisait des ravages dans le cercle des musiciens de reggae, ce style musical qui apparut dans les années 60 de la rencontre de divers courants de musique tel le calypso et le mento des caraibes, du jazz et du rythm and blues mais aussi de l’évolution du ska et du rocsteady. C’est en 1973 qu’apparaît le terme de reggae mais l’origine du nom reste obscur. Pour certains, il viendrait du mot anglo-jamaïcain ‘streggae’ désignant une personne mal habillée, pour d’autres le terme serait la contraction de ‘regular guy’ soit l’homme de la rue, d’autres y voient le mot ‘rege-rege’ qui se traduit par querelle ou encore le mot reggae désignerait une tribu en langue bantou, et pour finir c’est à travers des racines espagnoles désignant la reine des musiques ‘la musica del rey’ que certains explique la naissance du mot reggae. Mais si l’origine du nom reste floue, la paternité musicale l’est plus encore. Les éléments que possédait Zita Rubadub attribuaient le premier disque de reggae aux Maytals avec Do the reggays. Mais même si toots des Maytals est le premier à employer le mot, d’autres artistes tel que Lynford Anderson avec Pop-a-top, Stranger Cole et lester Sterling avec Bang a rang, Larry Marshall avec Nanny Goat et les Beltones sur No more heartache ont utilisé cet rythmique à contre temps qui sera la marque de fabrique du reggae.

L’idée de Zita Rubadub, la collaboratrice du lieutenant-colonel, mettait en scène notre valeureux agent. La belle Zita allait se faire passer pour l’assistante d’un artiste français du nom d’Hervé Calsbourgh, soit notre agent, qui cherchant à donner un nouveau virage à sa carrière se tourne vers le reggae. Menant le geste à la parole, la charmante Zita ébouriffa les cheveux de notre agent, lui ouvrit la chemise sur le torse et lui retira ses chaussettes afin de le laisser nu-pied dans ses Westons blanches. Et afin que l’agent leCurLing ainsi grimé paraisse plus crédible, Zita entreprit de lui conter la carrière du plus emblématique Rastaman : Bob Marley né Nesta Robert Marley le 6 février 1945 à Rhoden Hall, d’une mère noire jamaïcaine Cedella malcolm et d’un père jamaïcain blanc d’origine anglaise Norval Marley. Il forme les Wailers avec Joe Higgs et Peter Tosh mais en 1973, après les départs successifs de ses deux compères, Bob Marley lance sa carrière solo et les Wailers deviennent ses accompagnateurs, puis le trio Féminin les I Three dans lequel chante sa femme Rita prend en charge les chœurs. Son premier album ‘natty dread’ est un succès, s’ensuit en 1975 le ‘live’ enregistré à Londres avec ‘No woman no cry’ son premier triomphe international et en 1976 ‘Rataman Vibration’. En 1976 Bob Marley échappe à un attentat à son domicile jamaïcain. Seulement blessé au pied et au thorax, il décide de partir vivre à Londres où il enregistre les albums ‘Exodus’ et ‘kaya’. En 1978 une blessure au pied contractée pendant un match de foot et mal, voire pas guérie, de par des superstitions et un agenda fort chargé fait entraîner sa mort à Miami le 11 mai 1981.

La lourde porte du studio Tuff Gong s’ouvrit, le célèbre studio d’enregistrement de Kingston créé par Bob Marley était le lieu où notre héros allait enregistrer sa ‘dub plate’ Chanel one, un disque à pressage unique qui sert à démarcher les disquaires et dj des sounds systems. Le clan Marley : Damian , Stephen , Ziggy , Kynami et Rita qui gère aujourd’hui le studio, fut impressionné par l’organe de notre héros qui d’une prise termina son enregistrement en posant sa voix sur la rythmique torride de Sly and Robbie, le couple basse batterie le plus prolifique de Jamaïque ayant participé à 200000 titres environ. Sly Dunbar le batteur et Robbie Shakespeare le bassiste ont commencé à jouer ensemble en 1975 après avoir fait leurs gammes dans les sounds system, c’est Ho Kim qui les assemblent dans le backing band du label Chanel one, les Revolutionaries. A partir de 1976, ils accompagnent tout ce que le reggae fait de mieux comme artiste tels Peter Tosh, Gregory Isaacs, Bunny Wailer, Dennis Brown. De plus, voûte rythmique des Black Uhuru, il accède à une renommée mondiale. En 1979, Serge Gainsbourg les engage pour produire son premier album reggae puis ils l’accompagneront en tournée en France. Aujourd'hui, ils jouent et produisent des tubes avec leur label Taxi.

La main experte se glissa le long des courbes noires dévoilant un arrondi parfait, puis avec précision elle fit pénétrer dans son orifice… le centreur de la platine pour écouter la ‘dub plate’ de l’agent leCurLing. Tous les dj’s étaient unanimes : le sound était rond et gras comme il fallait et la voix nasillarde de notre agent de poser avec classe sur le beat. Un bon reggaeton quoi ! mais la charmante Zita et l’agent n’oubliaient pas leur mission. Une fois les dj mis en confiance, la discussion s’orientait vers la difficulté de trouver de la bonne ganja qui ne casse pas les pattes, qui ne t’enlève pas l’inspiration et l’envie du rythme, et tous étaient d’accord : depuis que les gars des entrepôts dealaient la skunk, le dub tournait au daube. ‘Les gars des entrepôts”, la phrase avait fait tilt dans le crâne de notre agent.
La nuit tombant, l’agent leCurLing et la belle Mlle Rubadub avaient décidé de faire un tour au port naturel de Kingston. De nombreux bateaux avaient plongé l’encre, parmi ceux-ci l’agent leCurLing vit un bâtiment commercial qui mouillait sous pavillon haïtien. La belle et l’athlète nagèrent jusqu’à celui-ci, pénétrant par un hublot dans la calle. LeCurLing découvrit une cargaison de sauge. La solution était là, la sauge qui stimule le système nerveux et qui améliore le moral, la sauge qui une fois brûlée assainit l’air d’une pièce, était la solution pour redonner des vibrations au rastaman.
A la première heure, l’ordre de mission fut envoyé au bateau haïtien de décharger sa cargaison dans les entrepôts 999 et de charger à la place celle des entrepôts 666. Une fois l’échange produit, notre intrépide agent armé d’un tournevis s’attacha à faire tomber la vis en pied de neuf entraînant une rotation transformant le 9 en 6 et de ce fait le 999 en 666.Grâce à ce subterfuge, les sbires de cacophonor fournirent de la sauge stockée dans les entrepôts 666 ex-999.

La police jamaïcaine était satisfaite de la mission de notre agent, qui avait su redonner le goût des créations musicales aux producteurs de reggae grâce à ces buz de sauge. Pour fêter cette victoire, la douce et belle Mlle Rubadub invita notre héros à un sounds system afin d’écouter la bonne vibes de l’île, la danse avait chauffé l’atmosphère et dans la moiteur de la nuit la féline Zita approcha ses lèvres pulpeuses et gourmandes en offrande à la fière, droite et longue… paille de ce verre de rhum glacé qui rafraîchit le gosier de la belle gardienne de la paix. 

Des mises à jours pour cette vesion 3.5 avec popcorn crazy de Vic Upshaw avec le mickey baker orchestra, my love des Richmond Orchestra titres signé Jacques Denjean, bug blues de Marc Moulin pour la B.O. De Tarzoon, un people sure act funny magistralement interprété par Arthur Conley, happy birthday mr holidays par Bobby blue Secondo et enfin le flash back disco sous arrangement et direction d'orchestre de Jacky Giordiano.