samedi 24 octobre 2009

Saison 3 – Episode 18

Cacophonor caisse toi et roule à l’ombre
Bonjour agent leCurLing, votre mission vous mènera au pays du fromage pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession du prestige automobile gaulois et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.

Comme s’il ne suffisait pas que le vil Cacophonor s’en prenne au rare groove tout au long des épisodes de notre série préférée, voilà que celui-ci s’attaquait à la classe hexagonale, le fleuron de notre industrie : l’automobile. Notre vaillant agent leCurLing était saisi soudainement d’un doute. Lady Béneloppe n’était-elle point un agent double à la solde de ce cacophuneste personnage, et afin d’éclairer son propos, l’agent leCurLing se repassa les divers méfaits commis par notre délicieuse agente : rond point traversé tout droit entraînant l’explosion d’un pneu, manœuvre dans la cour d’Electroland entraînant l’explosion d’un phare contre le seul arbre existant, et enfin franchissement d’une ligne blanche portant un coup fatal à la portière dudit véhicule. On ne s’y prendrait pas autrement si on voulait détruire le véhicule de notre agent. Hum ? Non, Lady Béneloppe n’était point un sous-marin du cacophélon, mais plutôt UNE conductrice comme on en croise trop souvent.

Dans le hall de la B.S.T., les quatre représentants à la chevelure rousse flamboyante de la BAtterie GEnérale des NOuvelles LEgislations, la redoutable BA.G.NO.LE se tenaient droits comme des I malgré l’invitation de Monnaie Punie à s’asseoir sur les fauteuils-cuir de la salle d’attente. Lorsque le directeur Ortofon et l’agent leCurLing arrivèrent, les quatre hommes se présentèrent : Mr Lafoy, Mr Legeay, Mr Lhorme, et Mr Lannaret. Mais c’est bien sûr, on avait à faire aux ‘quatre L, les quatre plus grands spécialistes de l’automobile française, mais qu’est-ce qui pouvait bien amener ces quatre éminents techniciens à la B.S.T. ? Les ‘quatre roux’ expliquèrent la situation à nos amis, en présentant chacun la mallette que les ‘quatre portes’, ils disséquèrent la tragique situation : le cacophélon s’était attaqué à l’industrie automobile.
Il fallait à tout prix faire cesser les cacophunestes activités de Cacophonor et de son second, un austro-tamponneur du nom d’Otto Desktruktor. Pour se faire, la BA.G.NO.LE avait décidé d’adjoindre à notre vaillant héros une assistante à la carrosserie bien dessinée, aux pare-chocs généreux, avec une belle reprise et sachant tenir la distance, et cette assistante se nommait Mazarine Peugeot, dite ‘la peuge’, venant tout droit de la maison-mère de la BA.G.NO.LE. à Sochaux.
Lorsque la sublimissime Mazarine arriva le lendemain au rendez-vous, elle possédait un grand nombre d’indices qui allait permettre de mener à bien cette mission et en premier lieu, les informations sur la SM de Citröen qui, à la suite du rachat de la fameuse firme italienne Maserati en 1968, voulut créer une GT, une sorte de DS avec un moteur de Maserati : la Citroën SM était née. Ce gros coupé à quatre vraies places avec un coffre muni d’un hayon bénéficie d’une tenue de route exceptionnelle grâce à la suspension hydropneumatique mais aussi grâce à une géométrie exclusive des suspensions. Fabriquée entre 1970 et 1975, la SM est animée d’un moteur V6 à 90° de 2670 cm3 de cylindrée, développé par l’ingénieur Alfredi de Maserati, puis de 1973 à la fin de la production, le moteur est équipé de l’injection électronique Bosch L-Jetronic. La SM est une routière extraordinaire d’une maniabilité incroyable et particulièrement appréciable sur les parcours autoroutiers grâce à sa vitesse de pointe de 220 km/h qui en fait une des routières les plus rapides pour son époque. Mais les deux chocs pétroliers de 1973 et 1975, combinés à l’incapacité du réseau Citroën à entretenir la mécanique délicate du moteur Maserati, fit que la SM fut boudée par les acheteurs, ce qui explique qu’elle ne fut produite qu’à 12920 exemplaires. La production des caisses était assurée par les Usines Chausson, l’assemblage par les usines Citroën de Javel puis par les Usines Ligier, l’arrêt de la production fut décidé par la nouvelle direction : la marque Peugeot.

Aux dernières informations, Cacophonor avait quitté Boulogne-Billancourt pour le Mans, notre héros et la délicieuse Mazarine décidèrent sans traîner de s’y rendre afin de stopper les méfaits du cacophélon qui se trouvait depuis 24 heures au Mans. L’agent leCurLing prit les clefs de la Matra Simca Bagherra pour rejoindre la capitale de la Sarthe, la gracieuse Mazarine Peugeot profita du trajet pour lire le dossier suivant : apparue en 1973, la Bagherra est le fruit de la collaboration entre Simca et Matra, elle a été produite entre 1973 et 1980. Il s’agit d’un coupé 3 places de front qui permet de gagner de l’espace en privilégiant 3 vraies place adultes, les premières livraisons du modèle ont lieu en juillet 1973 après la victoire de Matra Simca au 24 heures du Mans. Equipé du moteur de la Simca 1100 Ti d’une cylindrée de 1294 cm3 qui permet d’atteindre 180 km/h, fin 1975 le moteur est celui de la Simca 1308 GT de 1442 cm3 ; la carrosserie de la Matra Simca Bagherra est entièrement réalisé en composite polyester armé de fibres de verre, sa répartition des masses et son système de freinage avec 4 freins à disque lui confèrent un confort de conduite remarquable pour ce genre de véhicule. D’ailleurs l’agent leCurLing se régalait au volant de ce petit bijou produit à 47796 exemplaires.
Malheureusement, cacophonor avait déjà quitté le Mans, on le localisait en Normandie du côté de Dieppe. Sûr que celui-ci cherchait à fuir vers la grande Bretagne. Décision fût prise de rejoindre Dieppe au plus vite, mais là HORREUR, un pneumatique indiquait que le vil cacophonor avait subtilisé les plans des nouvelles sportives, les jeunes descendantes de l’Alpine A310. Ce modèle fut présenté au salon de Genève en 1971, le nouveau modèle a pour vocation de remplacer le modèle A110 et de concurrencer la Porsche 911, mais les problèmes récurant de la marque Alpine (investissements, grèves) entraînent des problèmes, réglés avec le rachat de la marque par Renault. Mais les premiers acheteurs ont essuyé les plâtres avec des problèmes de finition, d’étanchéité ou de réglage de train. Sous l’impulsion de Renault, le modèle va connaître un certain nombre d’évolution jusqu’à l’apparition du V6 en 1976, pour une production totale de 9276 exemplaires, ce véhicule est celui du héros de bande dessinée Georges Barell dans la série de l’auteur belge Bob de Moor.

Arrivés à l’embarcadère du port de Dieppe, l’agent leCurLing et la gracieuse Mazarine Peugeot se mêlèrent aux voyageurs. Le vaillant agent se présenta au kiosque à journaux pour acheter le quotidien local, pendant ce temps la voluptueuse Mazarine tomba dans les bras de l’infâme cacophonor prétextant un malaise. Alors que le vil ennemi se trouvait fort encombré et que les passants se regroupaient autour d’eux, l’agent leCurLing en profita pour échanger les plans avec le journal acheté. Pendant ce temps, la voix de l’hôtesse invitait les futurs voyageurs à rejoindre le ponton, cacophonor laissa tomber la malheureuse et prit vite fait ses affaires pour rejoindre le ferry-boat. Profitant de ce départ, l’agent leCurLing fendit la foule en criant ‘je suis médecin laissez-moi passer,’ et prenant son pouls dit ‘Vite, aidez-moi à la porter à ma voiture, il faut l’emmener à l’hôpital’. Sur son bateau, le cacophuneste personnage plongea la main dans sa mallette pour jeter un coup d’œil au… journal, et levant la tête, il vit la sublime Mazarine et l’agent leCurLing lui faire un petit coucou tout en repartant.

Une fois de plus, la mission avait été une véritable réussite, et plutôt que de partir rejoindre la Vinylsphère, l’agent leCurLing invita la splendide Mazarine à passer un week-end dans un charmant hôtel normand du côté de Deauville, et après avoir chabadabada chabadabada sur la plage et mangé un plateau de fruits de mer, nos deux agents spéciaux montèrent se coucher. Dans la pénombre, la main ferme de l’agent leCurLing se posa sur la partie froide puis glissa jusqu’à rejoindre la fente de… la serrure de sa chambre, une bonne nuit à la mer allait être des plus reposantes pour notre héros.

Bon on se décale on se décale et on va finir par fêter noël à pâques.
Un spécial auto (sous le même principe du puisement dans les recherches de blogeurs @mis)
avec une autoscopie du baron Bernard Estardy, une dame dans l'auto de Michel Legrand, Resonnace et Auto moto rallye, les Chico Magnetic Band pris dans le Crosstown trafic et les Rockets sur 'On the road again' 2 odes à l'autoroute par Mary Ross et Plat du Jour et enfin pour ne pas oublier que pour réaliser ce fleurons de la technologie française les cadences du Groupement culturel Renault.
Voilà la bande son de cette épisode, alors bon crénau avec Avec du rythme, des basses, du fuzz.
Mais aussi de l’amour et des violons.

dimanche 4 octobre 2009

Saison 3 – Episode 17


Cacophonor le vieux Shaft de gouttière
Bonjour agent leCurLing, votre mission vous mènera dans les nuits chaudes de Harlem pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession des neuf vies du Shaft et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.

Je laaasssss mes godaaaasssss bonaaaassss, ce bon Price-Fisher avait beau faire un doux retour, sa nouvelle façon de parler devenait de plus en plus énervante, de surcroît il ne mangeait plus que des salades Black Caesar, ne buvait plus que du Coffy, et ne se meublait qu’en Superfly, Shaft commençait à bien faire, il allait falloir sévir.

Comme toujours, les convocations du colonel Shure étaient brèves et succinctes : ‘Rendez vous mercredi 12 à 13h à la THORENS, situation cacophuneste grave.’ C’est pourquoi ce mercredi 12 à treize heures, lorsque le soldat de garde fit pénétrer notre valeureux agent leCurLing dans la base militaire ultra-secrète, il s’attendait à tout. Oui à tout. Cacophonor avait-il réussi son endaubtrinement de la planète ? Le château de la Starhac avait-il remplacé la Maison-Blanche ? Mystère, mais le voile de ce mystère allait vite être levé par le colonel Shure, car s’avançant au-devant de notre héros, accompagné de deux personnes, le colonel Shure allait dévoiler les raisons de cette convocation. ‘Bonjour agent leCurLing’ dit le colonel Shure ‘laissez-moi vous présenter Mr Poitier de Sydney euh… Mr Sydney de Poitier, excusez moi… et son assistante Mlle Pam Gruyère, qui vous secondera dans cette mission, mais suivez-moi dans mes quartiers, Mr Sydney va vous présenter la situation.’
‘Agent leCurLing, laissez-moi d’abord vous remercier au nom de notre organisation, la Base Locale d’Action Combattante et Kulturel, la B.L.A.C.K.. Vous n’êtes pas sans s’avoir que le Cacophélon ne limite pas son combat qu’à la musique de premier choix, et qu’il a décidé de s’attaquer à tout ce qui est de qualité’. L’agent leCurLing ne le savait que trop bien, lui qui avait dû combattre cacophonor dans un quatre quatre deux mémorable dans le monde du football. ‘Tout ce qui est de qualité’ reprit Mr Sydney de la B.L.A.C.K., ‘mais surtout actuellement, il a jeté son dévolu sur notre activité première la Blaxploitation… mais encore plus fort, il nous nargue car devine, qui vient dîner ce soir ? Oui agent leCurLing, le cacopharceur s’est invité, masqué, à venir au repas de notre organisation.’ ‘Ah le vil cacophacochère’ s’écria leCurLing. ‘Mlle Pam Gruyère va vous remettre les premiers éléments nécessaires à votre mission’ dit le colonel Shure. Celle-ci commença son exposé d’une voix chaleureuse et rocailleusement sexy, une voix comme une Tina qui aurait bien Turner : ‘Cher agent leCurLing, le mot blaxploitation est la contraction des mots Black et exploitation et il fait référence au cinéma de genre afro-américains des années 1970. La grande majorité des films de blaxploitation sont violents et sexuels, ils parlent de prostitué, de dealer ou de tueur du ghetto. Ces films sont fort appréciés de la communauté noire car ils montrent ses acteurs de couleurs dans des situations d’hommes fiers et libres de leur choix de vie, à l’inverse des films d’Hollywood qui eux montrent ces acteurs dans des rôles de serveurs, de bandits ou d’esclaves.’ L’agent leCurLing buvait les paroles de la belle, mais il allait falloir agir.

Dans le yellow cab qui menait la sublime Pam Gruyère et l’agent leCurLing dans le Bronx, l’ambiance était morose, les premiers échos n’étaient pas de nature à être optimiste. Arrivé au quartier général de la B.L.A.C.K., l’agent leCurLing se plongea dans les dossiers, et put lire qu’au début des années 70, la condition sociale des Noirs aux Etats-Unis n’a guère évolué depuis les victoires symboliques de la lutte pour leurs droits civiques. Ils restent victimes de leur statut de descendants d’esclaves et de la couleur de leur peau. En effet, la discrimination raciale a volontiers pris la place de la ségrégation qui sévissait dans les années 60.
De plus, de nouveaux fléaux apparaissent. La drogue envahit peu à peu les quartiers, ainsi que la criminalité et le chômage. La communauté noire se sent exclue de la société américaine. Elle essaie de s’imposer et de se faire entendre par tous les moyens mis à sa disposition.

A cette époque, le seul acteur noir célèbre est Sidney Poitiers. Il laisse entendre qu’il était possible pour les Noirs d’être acceptés dans la société américaine. La réalité était pourtant extrêmement différente pour beaucoup. Après les émeutes raciales qui avaient secoué les Etats-Unis, le parti des Black Panthers incita ses nombreux partisans issus des quartiers défavorisés à passer à l’action militante.
Ceux-ci ne souhaitaient plus voir les acteurs noirs cantonnés à des rôles de serviteurs. La première réponse à cette attente de la communauté noire fut « Sweet Sweetback’s Baadasssss Song » de Melvin Van Peebles en 1971. Auteur, réalisateur, producteur et acteur de son propre film, Melvin Van Peebles incarne Sweetback, antihéros noir qui assiste au passage à tabac du leader d’un groupe de manifestants par deux policiers blancs. Prenant alors la défense du militant, il finit par assommer les deux policiers et devient la cible de toute la police de Los Angeles. Commence alors une fuite soutenue par la population noire qui le mènera au Mexique. A sa sortie, ce film fut classé X, ainsi il venait de créer la Blaxploitation, contraction des mots « black » et « exploitation ». Un genre où les héros évoluent dans un univers fait de violence, de trafics, de justice privée et de sexe bien sûr.
Un genre spécifiquement destiné au public Afro-américain et où la musique noire va tenir un rôle primordial et complémentaire aux films.
La même année sortit sur les écrans « Shaft, les nuits rouges de Harlem » de Gordon Parks, pur produit formaté, mais destiné au public Noir. C’est Richard Roundtree qui y tenait le rôle principal, celui de John Shaft, un détective privé. Il était engagé par un truand notable afin de retrouver sa fille qui avait été kidnappée par la mafia. Ce film fera de Richard Roundtree une star et le symbole d’une population noire jusque-là oubliée.
Shaft fut aussi largement apprécié pour sa bande originale composée par Isaac Hayes, qui devint par la suite une référence en matière de musique de films. Elle fut même récompensée par un Oscar.
Black Caesar de Larry Cohen raconte l’histoire de Tommy Gibbs, jeune cireur de chaussures chargé par la pègre locale de récolter l’argent de flics corrompus de la ville. Ce film connut également un grand succès populaire, notamment grâce à une bande originale signée James Brown. La même année, une femme est à l’honneur. Pam Grier devient l’autre grande star du genre en tenant le rôle principal dans Coffy de Jack Hill. Coffy, jeune infirmière, décide de faire justice elle-même après avoir découvert qu’un dealer fournissait de la drogue à sa jeune sœur. Elle infiltre alors ce milieu pourri et se fait passer pour une prostituée. Le film devint rapidement culte et Pam Grier une icône du genre Black. Mais elle ne fut pas la seule à interpréter des rôles de femmes fortes, vengeresses le plus souvent, et extrêmement sexy. Dans Cleopatra Jones en 1973, on retrouve Tamara Dobson.
Si la plupart des films issus de la blaxploitation étaient des polars, tous les genres possibles furent transposés pour les faire interpréter par des acteurs noirs : comédies romantiques, péplums, films de karaté, comédies musicales et même des films d’horreur. La Blaxploitation restera au sommet pendant un peu plus de quatre ans. En effet, en quelques années seulement, ce cinéma n’attire plus les foules. Les réalisateurs n’arrivent plus à renouveler le genre et, à force de l’exploiter à tort et à travers, ils finiront par le faire sombrer dans le ridicule.
La Blaxploitation et les bandes sons qui accompagnaient ses films ont inspiré par la suite de nombreux réalisateurs de tous horizons comme Quentin Tarantino qui le clame avec fierté et reconnaissance.

Ainsi armé, notre valeureux agent leCurLing allait pouvoir confondre le vil cacophélon. Alors que celui-ci allait lancer sa cacoxploitation, l’agent leCurLing pénétra dans son repère. Ainsi démasqué, cacophonor dut précipiter son départ sans toutefois lancer le compte à rebours du cacoxploitation. L’agent leCurLing dut escalader la rampe de lancement avant d’arriver au système de mise à feu, il ne restait plus que 5 secondes, l’agent leCurling devait faire vite et prendre la bonne décision, il décida de retirer le fil rouge mais au dernier moment, il arracha le fil jaune et le chronomètre ce figea sur 1.
Dans la chaleur de la nuit, Pam Gruyère et l’agent leCurLing pénétrèrent dans le Reggio Café où le tenancier, un grand échalas de la plomberie, leur servit un cocktail. Dans la pénombre de l’établissement, la main de l’agent leCurLing fureta le long du corps d’ébène et cuivré gainé de cuir et forme arrondie qu’offrait… le comptoir où l’agent cherche les glaçons pour rafraîchir son cocktail.

bonjour les amis ! bon petit retard à l'allumage. Bon sa faisait un petit moment que sa me trotté dans la tête... mettre le son en adequation avec l'épisode, mais bon j'avais plein de bon petits disques a faire découvrir! Oui mais voilà je me rend compte que sur la toile on trouve tout et encore plus (et je m'en réjoui) que ce soit les anciens blogger (donc certains prennent un repos bien mérité) et je pense à number 06, double-O-soul, whoops, Manu, J.-C. Pierric etc... etc... et les nouveaux qui décoiffent tel que France Muzik ou les Mains Noires (que j'ai stupidement appelé les mains sales) tous fournissent du très bon son qu'ils ont dénichés après surement des heures de recherche dans des salons, des flea markets, des car boots, des emaus ou des trocs choses... avec la foie de passionné qui n'ont d'envi que de faire découvrir à leur amis de la toile les petites qu'ils ont déniché un vrais boulot de fanzine moins pénible à réaliser que ces journaux polycopiés affublé de cassette copier pendant des heures et distibué à pieds chez les disquaires du coin. Oui les outils moderne vont plus vite sont moins pénibles à utiliser et se diffuse rapidement à travers le monde. D'ailleur beaucoup de dirigeant d'activités culturel ont débuté grâce à ces fanzinesou on recyclé l'existant avec sa propre approche et sa propre sensibilité.
Enfin tout cela pour dire 2 choses, que 1 : j'espère que les lois ne sont pas faites pour briser les carrières de jeunes passionnés dont le seul défaut et d'utiliser les techniques modernes. (mais en sont temps polycopies et cassette audio était fort moderne). S'il y a peut être une différence entre fournir des nouveauté au kilometre et faire découvrir à d'autres passionnés ces découvertes il y a une différence que les lois sentirons.
Et de 2 pour coller au sujet de l'épisode je puiserai dans des enregistrement d'amis blogger qui m'on permis de découvrir des sons que je ne connaissais pas et que j'espère feron la joie de ceux qui vont les découvrir.
Alors tout blaxploitation avec des maîtres du genre j'ai nommé : James Brown, Isaac Hayes, Roy Ayers, Melvin Van Peebles etc..
bonne écoute pour la lecture et l'image.