lundi 15 juin 2009

Saison 3 – Episode 12


Cacophonor se prend les boules à facettes
Bonjour agent leCurLing, votre mission vous mènera au cœur du disco pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession des discothèques et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.
Yes we were born ! born ! born !, born to be alive ! la musique rythmait à merveille les exercices de gym tonique de Price-Fisher, qui avait décidé de se construire un corps d’athlète, ‘abbase’ de gym et de ‘testocerrone’ afin d’être dans le meilleur des états pour affronter le vil cacophélon. Sage résolution, mais fallait-il à tout prix que pour ce faire, le bon Price-Fisher enfile un cycliste rose fluo, un t-shirt taille xxxxxxxxl tombant sur une épaule et un bandeau vert fluo dans les cheveux. Oui vraiment, le fallait-il ?

Le brave directeur Ortofon lâcha un énorme soupir. “Je suis fatigué, mon cher leCurLing, très fatigué” - “Mais comment ça, monsieur le directeur ?” questionna l’agent leCurLing. “Les nouvelles directives, mon bon leCurLing, les nouvelles directives, travailler plus pour rapporter plus d’indices, plus qu’ils veulent ! Un service minimum d’indices qu’ils veulent ! Et pour se faire, ils veulent rajeunir les effectifs” – “Mais qui ça, monsieur le directeur” –“La présidence, mon cher leCurLing, la présidence, qui une fois encore a promis l’impossible. Résultat des courses, on m’a affecté une équipe de ‘djeun’s’ en patin à roulettes et getto-blaster, des excités de bocal, speedés au ‘i will survive’, voilà où l’on en est à la B.S.T., même notre brave secrétaire, Miss Monnaie Punni, est au bord de la crise de nerfs.” Et ce fut à ce moment-là que la porte du bureau du directeur Ortofon s’ouvrit avec fracas sur Trois énergumènes en blousons laminés, interpellant notre bon directeur d’un ‘Ah ! Ah !Ahah ! staying alive !’ dans les aigus. Le cœur du bon directeur Ortofon n’avait fait qu’un bon et tout essoufflé, il dit à l’agent leCurLing ”pfuit… je vous présente pfuit… pfuit… les agents : lai, bi et jize pfuit…” lai, bi, jize se tournèrent vers notre valeureux agent et lui dirent bonjour , avant de repartir.
“Voilà ce que je subis toute la sainte journée, mon bon leCurLing, j’en peux plus. Quant à vous, je vous laisse libre de partir en vacances, mais si l’envie vous prenait juste pour rigoler de chercher des indices, je verrais cela d’un bon œil”-“Comptez sur moi, monsieur le directeur”. En sortant de la B.S.T., l’agent leCurLing entrevit Miss Monnaie Punni dans un jogging jaune fluo qui, il faut bien le reconnaître, piquait les yeux.

L’agent leCurLing pénétra dans le café ‘new star light’. A peine la porte se refermait derrière lui que le sympathique ‘Hoggi la bonne canalisation’ s’avança à sa rencontre. “Hey cher agent leCurLing, qu’est ce qui vous amène ?” L’agent leCurLing expliqua la situation à ce brave Hoggi : “Mince, des Djeun’s pour une telle mission, c’est osé” dit le brave tuyauteur, ”pour ce qui est des infos, je vais vous laisser avec Miss Panthera la discolady, elle vous attend au fond du café.” L’agent leCurLing se présenta dans le salon discret du bar le new star light où l’attendait une plantureuse beauté noire au corps sculptural, gansé de peau de panthère. “Salut” dit leCurLing. ”Rhaaaaa !” grogna la belle tout en tapotant de sa cravache ses cuisses gainées de cuir :“Tu veux tout savoir du disco ? Alors écoute, bel agent, l’histoire du disco sounds : dans les années soixante, la Motown posa les fondations de la musique noire américaine. Pendant ce temps à Philadelphie, Kennie Gamble et Leon Hull travaillent à l’élaboration d’un nouveau son, riche en arrangements et en innovations mélodiques, reconnaissable instantanément. Dès le début, le catalogue de Philadelphia international records s’oriente vers les clubs. Pourtant, si le philadelphia sound a influencé la musique de club, la naissance du disco est due à une personne, Georgio Moroder qui depuis Munich, a l’idée saugrenue de mélanger les voix soul voire même gospel avec des rythmiques électroniques et des mélodies blanches. Ce fou d’électronique compose des titres d’une très longue durée pour Donna Summer, des titres comme des suites qui forment la base du ‘Munich sounds’. Mais si Moroder est le concepteur de la disco avec son album ‘knight in white satin’, il profite aussi de l’émergence des boîtes de nuit en Europe. D’ailleurs, la relation producteur /dj va marcher à plein, c’est le good timing. C’est parce qu’il a des clubs que la musique éclate et c’est parce que la musique éclate que les clubs prolifèrent. En France, Jean-Marc Cerrone sort l’album ‘Love in C minor’, à la pochette érotique et au son martelé de grosse caisse qui va devenir la marque de fabrique du disco. Ainsi sont posées en 1976 les bases du disco, mais la véritable explosion va apparaître l’année suivante. En 1977, c’est l’explosion du phénomène avec la sortie du film ‘la Fièvre du samedi soir’, tourné au club 2001 Oddyssée, mais ce film n’est que la partie visible de l’iceberg car la production de cette année est phénoménale, venant de Munich ou de France, avec l’émergence de Jacques Morali, le producteur de Village People qui fera de 1977 son année. De plus grâce à ‘Saturday night fever’ on passe d’une disco de clubs à une disco de radio permettant d’étendre le phénomène.
Et enfin deux événements vont finir d’asseoir le disco : le premier est l’arrivée du Maxi 45 tour qui contient la durée d’un 45 tour sur la surface d’un 33 tour permettant un enregistrement plus précis grâce à l’élargissement des sillons et un son plus fiable, meilleur pour la disco et ses basses marquées. Et le deuxième événement est d’un ordre plus intellectuel car le côté festif du disco emmène un second degré dans la musique, un esprit de joie où chacun se sape pour être la vedette d’une nuit d’excès. Voilà la disco et ses clubs mythiques comme le club 54 à New York, le Palace à Paris”. L’agent leCurLing était subjugué par la Belle Miss Panthéra quand tout à coup, il fut rappelé à la dure réalité par ‘Hoggi le bon siphon’, l’agent leCurLing devait vite se rendre au club ‘élephantamus’ car lai, bi, jize se trouvaient en mauvaise posture.

Arrivé sur les lieux, l’agent leCurLing aperçut les trois jeunes agents pris de soubresauts et de spasmes sous l’emprise d’une disco roborative jouée depuis la cabine du DJ. N’écoutant que son courage, l’agent leCurLing gravit les étages menant à la dite cabine et affronta DJ Terror, le sbire de Cacophonor, l’agent leCurLing esquiva une salve de maxi 45 tour tranchant comme une hache, puis se boucha les oreilles pour éviter le cri tuant de la voix du DJ pleine de ‘reverb’. Notre valeureux agent empoigna un 45 de MichaileTaure, le jeta sur la platine puis se saisit du casque qu’il plaça sur l’oreille du DJ Terror. Celui s’effondra après avoir hurlé à mort. Ainsi débarrassé du Dj, l’agent leCurLing put diffuser un sublime disco groove qui permit au trois castra lai, bi, jize de retrouver calme et raison.
Le directeur Ortofon était satisfait, les trois jeunots avaient été renvoyés à leurs chères études et les indices ramenés par l’agent leCurLing permettaient au cher directeur de clore le dossier, mais d’ailleurs pensa le directeur “où se trouve l’agent leCurLing ?”.
L’élancée Miss Panthera s’était penchée en avant, sa croupe musclée pointait vers le ciel, la lionne ne demandait qu’à être dressée et le râle qui sortait de sa gorge était un de ces cris bestial et animal évoquant le désir. C’est à ce moment qu’elle intima l’ordre à l’agent leCurling : voui va y fouette oh ! oui ! fouette encore oui ! oui ! oui ! fouette-moi… cette chantilly pour qu’elle monte, que l’on se régale de ce petit karaboudjan fait 1/3 de cognac, 1/3 de crème de wisky, 1/3 de liqueur de café.

nouvelle version nouvelle moisson avec le pourquoi pourquoi pas de Jean Luc Salmon et le psycho de Colin Verdier on retrouve aussi le pain bruler et café sans lait d'isabelle aubray eddy warner nous reploge en enfance avec pere lipopette et sacripan un peu de twiste avec les devil's guitar et leur mariner twist et enfin une perle kitsctissime le disco twist des stanless.
Bonne écoute !!!

lundi 1 juin 2009

Saison 3 – Episode 11

Cacophonor, jaunit à l’idée du rock français
Bonjour agent leCurLing . Votre mission vous mènera au cœur des MJC pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession des oubliés du rock français et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.
Voilà bien une mission qui fleurait bon le calendos et le pot de beauj., une de ces missions en territoire connu reposant sur nos fondamentaux : petites routes sinueuses, petits villages accueillants emplis de flonflons et de majorettes. Price-Fisher plongea sa tartine de beurre demi-sel étalé sur une tranche de baguette dorée dans son bol de ricorée, en rêvant au paysage bucolique de notre belle patrie. Nom de code de la mission “bleu, blanc sur rouge, rien ne bouge”.

Le coupé 404 de l’agent leCurLing quitta le parking de la B.S.T., descendit l’avenue, puis s’engouffra sur le périf avant de se retrouver sur cette belle Nationale. Les recommandations du directeur Ortofon étaient simples : glaner le maximum d’informations sur les groupes de rock seventies sans éveiller le moindre soupçon chez notre ennemi Cacophonor. 
Ca faisait un bon moment que l’agent leCurling roulait sur cette route en direction de Belfort, et comme l’heure du repas sonnait et que l’estomac de notre agent se manifestait, il s’arrêta dans un petit routier pour casser la graine ; l’agent leCurling pénétra dans le routier, un épais nuage de fumée flottait au-dessus des têtes des consommateurs du bar. Une charmante serveuse s’avança de façon avenante devant notre héros, celui-ci lui fit un amical sourire et dit : ‘Bonjour, vous reste t’il une table ?’, ‘Bien sûr, suivez moi’ lui répondit la délicieuse jeune femme. La serveuse plaça notre héros à une table et lui dit : ‘Le menu du jour est blanquette de veau’, ‘Parfait’ répondit l’agent ‘et mettez-moi un petit pot de côte’ rajouta t’il. 5 minutes plus tard, la serveuse revint avec une assiette pleine et un pot de côte, et lorsque notre agent déplia sa serviette, un papier tomba au sol que l’agent leCurLing ramassa. Dessus, il put lire ces informations : la pop des années 70 en France débuta par une période d’intégrité à la cause pop, mais cette période pure ne permettait pas aux groupes pop de vivre et très vite les formations pop se tournèrent vers une forme proche de la variété en accompagnant des artistes connus qui firent le chemin inverse en intégrant plus de rock dans leur variété. Mais une émergence de groupes plus confidentiels allait fournir les représentants du rock progressif français. Le mot était signé du Groupe d’Orientation Libre Faisant Du Rock Ou Union Obligatoire du Tempo soit les activistes du G.O.L.F.D.R.O.U.O.T, dont le chef Mr Henri œuvrait pour la reconnaissance du particularisme franco-rock. Mais le mot se terminait par une mise en garde, car les ennemis étaient partout, même plus proches qu’on pouvait le croire. Après avoir bu son café et réglé l’addition, l’agent leCurLing reprit sa route, sans prêter la moindre attention à la DS qui le suivait, mais alors que le véhicule de l’agent allait terminer cette longue ligne droite, la DS lui fit une queue-de-poisson, propulsant le coupé 404 de l’agent dans le bas fossé. Mon dieu, comment les hommes du Cacophélon était au courant de la mission de l’agent leCurLing ?

‘Bonjour alors on se réveille ?’ chantonna la charmante infirmière en rentrant dans la chambre d’hôpital de l’agent leCurLing. Celui-ci encore vaseux et sortant d’un état comateux lui répondit ‘Oui ça va… ça va… mlle… ?’ ‘Jacqueline Bouvier, Monsieur l’agent’. ‘ Appelez moi leCurLing, belle enfant’. ‘Ouh ouh ouh, je vois que vous allez bien mieux leCurLing, mais il va falloir vous reposer 2, 3 jours, vous avez fait une sacrée embardée avec votre véhicule, tenez j’ai de la lecture pour vous : la dépêche de Belfort’. Alors que l’agent leCurLing tournait les pages pour voir les résultats du championnat interdépartemental de football, son regard s’arrêta à la rubrique des petites annonces,où il pu lire : ‘Groupe recherche MJC pour représentation musicale. Ange, groupe musical Belfortain de rock progressif, mené par les deux frères Decamps (Francis et Christian), fortement influencé par Genesis et King Crimson, le groupe est composé, outre le chanteur leader charismatique Christian Decamps, de Jean-Michel Brézovar à la guitare, Francis Decamps au clavier, Gérard Jelsch à la batterie et Daniel Hass à la basse, le groupe cumule dans les années 70, 6 disques d’or, avec les albums Caricatures (1972), le cimetière des Arlequins (1973), Au-delà du délire (1974), Emile Jacotey (1975) et Par les fils de mandrin (1976)’. Voilà une petite annonce précise qui faisait bien l’affaire de notre agent.
La blouse blanche de Jacqueline Bouvier laissait apparaître en contre jour les formes avenantes d’un corps désireux de servir son prochain, et alors qu’elle penchait le buste en avant, offrant une vue plongeante sur son décolleté affriolant, la belle Jacqueline, invita l’agent à prendre dans sa bouche la forme arrondie du… bâtonnet de bois et faire AHHHHHHH ! ‘Tout va bien, le docteur a dit que vous pouviez sortir, je suis contente pour vous le CurLing’. La voix chevrotante de Jacqueline cachait mal sa tristesse. Oui, mais malheureusement pour Jacqueline, la B.S.T. rappelait l’agent leCurLing sur Paris pour poursuivre sa mission.
Arrivé à la B.S.T., le directeur Ortofon annonça à l’agent leCurLing qu’il avait rendez-vous avec un agent du GOLFDROUOT qui devait lui confier un maximum d’infos pour la mission. OUI mais voilà, lorsque l’agent leCurLing se rendit au rendez-vous, c’est un macchabée muet que l’agent découvrit, il ne faisait plus de doute : il y avait une taupe à la B.S.T., oui mais qui ? L’agent leCurLing réfléchissait à tous ces évènements sur le banc d’un parc quand tout à coup, une jolie jeune femme s’assit à ses côtés et lui dit à voix basse tout en continuant à donner de la mie de pain aux pigeons : ‘Agent leCurLing, je suis Brigitte Tournier du GOLFDROUOT, restez naturel nous sommes surveillés, je vous donne rendez-vous ce soir 19 heures au confessionnal du Sacré-Rocœur. Il y chez vous une taupe, il faut vous en débarrasser !’.
Une taupe pour sûr, mais sûrement pas le Directeur Ortofon ou le Colonel Shure, encore moins Price-Fisher, et même si elle parle beaucoup, lady Béneloppe, ne pouvait être cette taupe, NON vraiment l’agent leCurLing ne voyait pas qui pouvait travailler dans l’ombre pour Cacophonor.

Il allait falloir être vigilant et recouper toutes les infos pour découvrir le traître à la ‘cause du pop’ qui sévissait au sein de la B.S.T., sans perdre de vue que la ravissante Brigitte Tournier avait pour l’agent leCurLing une masse d’infos pas négligeables, dont les événements avaient retardée la diffusion. Voilà à quoi pensait l’agent leCurLing en rejoignant le nouveau coupé 504 mis à sa disposition par la B.S.T., et alors que sa voiture filait vers le Sacré-Rocœur, l’agent leCurLing eut une idée de génie.
La lourde porte du Sacré-Rocœur s’ouvrit, quelques grenouilles de bénitier priaient le seigneur, notre agent rejoignit la belle Brigitte au confessionnal, puis elle commença ses confessions : ‘Magma est un groupe de rock français fondé en 1969 par le batteur compositeur chanteur Christian Vander, cette formation est à l’origine du genre musical ‘Zeuhl’. Magma, fortement influencé par la musique contemporaine, le free-jazz et le rock avant-gardiste, lance un pavé dans la mare avec un style décapant pour un pays peu habitué à une musique expérimentale, chantée dans une langue imaginaire le Kobaien qui rajoute au décalage musical. L’âge d’or du groupe se situe entre 1973 et 1975, plus de 1580 musiciens vont passer par Magma tels Didier Lockwood, Claude Engel, Janick Top, Bernard Paganotti, Klauz Blazquiz, François Cahen ou Benoit Widemann qui participeront tout au long de la carrière de Magma aux albums tels que Kobaia (1970), 1001° centigrades (1971), Univeria Zekt (1971), mekanïk Dektrukïw Kommandöh (1973) Wurdah Îtah (1974) ou Üdü Wüdü (1976). Ensuite Dynastie Crisis, groupe formé de Jacques Mercier (chant guitare), Jacky Chalard (basse) Philippe Lhommet (clavier) et Geza Fenzi (batterie) qui connut quelques succès avec ‘Vivre libre’ et Faust 72’. Le groupe est connu pour avoir accompagné sur scène Michel Polnareff en 1972 à l’Olympia. Triangle, créé en 1967, un des premier groupe pop en France qui connut un succès en 1970 avec ‘Peut-être demain’ et sortit les albums Triangle (1970), viens avec nous (1972) et homonymie (1973). Puis Zoo, groupe de rock français apparu à la fin des années soixante, qui fut connu pour avoir accompagné Léo Ferré, Eddy Mitchell et Nicoletta. Puis Martin Circus qui fut créé en 1969, le groupe a beaucoup évolué à travers les années, passant d’une pop recherchée à la variété, son plus grand tube restera ‘je m’éclate au sénégal’, prix pop 1972. De plus, ils participeront à l’opéra rock ‘La révolution française’ en 1973, le début de la discographie est la plus intéressante sous l’impulsion de Gerard Pisani, Bob Brault (basse), Patrick Dietsch (guitare) Paul-Jean Borowsky (claviers) et Jean-François Leroy (batterie), les albums en direct du Rock’n’roll Circus (1970) acte II (1972) marqueront la pop française. D’autres groupes furent énoncés par la belle Brigitte tel les ‘Variations’ ‘Art Zoyd’ ‘Lard free’ ‘Ame Son’ ‘Chico Magnetic Band’ etc…

Tous ces renseignements pris, il ne restait plus à l’agent leCurLing qu’à confondre le vil traître. Et pour se faire, notre valeureux agent plaça une galette sur la B.S.T. et lança le directeur Ortofon. La force centrifuge du mouvement cylindrique fit apparaître un dysfonctionnement bilatéral des mouvements convergents ou plutôt pour être clair, son tourné pas rond donc le coupable était…l’agent Antiskatting, celui-là même que l’agent leCurLing avait eu tant de mal à régler. Le vil traître démasqué, la paix revint à la B.S.T. pour le plus grand plaisir de son directeur satisfait de cette mission et des éléments rapportés par l’agent leCurling.
un petit best of de l'an dernier pour completer sa collection et pour les nouveaux adhèrents !
Et pour cela que du golden classic à la sauce leCurLing avec gazoline de Dominique Blanc Francard, cracker jax de 1515, mr sandy de mr Bertrand, les Requins et leur campus n°8 puis Pol Alain et son boum et également soukouss de Manu Dibango.
Alors de quoi sans foutre pleins les oreilles avec du larsen et des grosses caisses mais aussi de la passion et des flûtes traversières, ou un truc comme ça.