Sale long, du dit ce que (1ère partie)
La B.S.T. était dans tous ses émois, un commando anglo-italien, les HauTcommeTroisPomMe, s’étaient attaqué à son super directeur orTeFon et il faut bien reconnaître que celui ci avait eu du mal à encaisser le coup : « cher agent leCurLing, les HauTcommeTroisPomMe m’ont violemment affaibli en me décapitant la tête de lecture de leur petites mains potelées, j’ai trop peur que le vil CacoPhonor en profite pour s’immiscer par les ondes cablesques ou postagalenesque afin de mettre sa menace à exécution, et j’ai, là sur notre ordinateur, une liste d’agents et de contacts amis qui pourront vous aider dans votre mission ».
Le temps que le directeur orTeFOn se refasse la cerise dans une disquerie de repos, entouré d’infirmière-didjettes, toutes à son attention. Il nous fallait mon fidèle valet PriCe-FisHer et moi-même prendre contact avec nos collègues de combat. Et c’est au volant de notre coupé PantOufLe (modèle italien au dessus cuir retourné à semelle croûte de cuir, il va de soi) que nous traversammes ElectroLAnd de SalOn en large, jusqu’au bUreAu afin de nous connecter à nos vaillant amis, sauf que l’imprévu était là OUI !!! car Lady BéneLoppe, conseillée par une de ses cOpinEs, faisait du shOpinGenliGne, et là encore l’infâme CacoPhonor sévissait, distillant en fond sonore son effroyable arme : ladAuBE, allant jusqu’à proposer un téléchargement gratuit pour 50 réalisés, de ces réalisations leStarhAk, une idée démonique de son lieutenant UsiverNal.
N’écoutant que son courage Notre justicier, l’agent leCurLing, se précipita afin de sauver Lady BéneLoppe des mains de CacoPhonor (et lui éviter de faire ce que l’on appelle dans la VinylSphère : une énorme cOnNerIe, avec sa CarTeBleU), d’un doigt puissant et magistral l’agent leCurLing pourfendit la force obscure de CacoPhonor et c’est dans un dernier éclair suivi d’un pfuiiiit que celui-ci (et sa horde cruelle) disparut pour l’heure dans les ténèbres.
Les yeux enmourachés de Lady BéneLoppe en disaient long sur la reconnaissance qu’elle portait à notre agent : « Oh ! mon dieu ! leCurLing, merci de m’avoir sauvé le compte »
Et celui-ci de répondre de sa belle voix grave : « de rien, Lady BéneLoppe, je n’ai fait que mon devoir au nom des NainbLonds, qui vous réclament d’ailleurs !!!»
L’agent leCurling avait su une fois de plus sauver la VinylSphère du démon CacoPhonor, mais le retard pris pour contacter les agents amis était-il rattrapable ? et ses amis, qui étaient-ils ? combien étaient-il ? leCurLing et PriCe-FisHer pouvaient-il tous les contacter ? et ensemble pouvaient-ils vaincre le fléau ? pour cela il fallait d’abord se reconnecter…
L’agent leCurLing et PriCe-FisHer vont-il pouvoir contacter leurs amis ?
Le directeur orTeFon a t’il retrouvé toute sa tête après cette onéreuse opération ?
A part les NainbLonds (ce qui est déjà pas mal), n’y aurait t’il pas quelque chose entre notre agent et Lady BéneLoppe ?
Et celle-ci va t’elle penser à cliquer sur l’anti-spam pour ne plus être attaquée par CacoPhonor et sa clique ?
VOUS LE SAUREZ en suivant la 2ème partie de notre épisode : Sale long, du dit ce que.
Episode dédié à la mémoire de Monsieur James Brown
ALORS !!!
RETROUVE TA SÉRIE BRUTDEGROOVE SUR LE NET
La série groove • jerk • lounge
Avec du rythme, des basses, du fuzz.
Mais aussi de l’amour et des violons.
SuperCompil 3
Quand le shaft est là les souris dances
La pochette est ici, le son est dans le post
Tracklisting
01 Theme from shaft – Klaus Wunderlich
Revisité totalement à l’orgue, version vraiment originale mais si courte.
02 Super fly – Percy Faith
Vocaux féminin, cuivre tonique et orgue dithyrambique pour cette version.
03 OK chicago – Mario Cavallero son orchestre et ses chanteurs
Approche brut de ce classic à la basse sèche et au clavier épuré.
04 Theme from swat – Ray Conniff
Vocaux et violons grandiloquents, à 1minute 30 break beat ultra pour B Boys.
05 Papa was a rollin’stone – Fausto Papetti
Ah! Cette intro envoûtante, ballade de saxe sexy sur des percus en transe.
06 Theme from Shaft – The Love Unlimited Orchestra
Encore du sexy avec cette version « discoïfié » aux instruments sautillant.
07 Time is tight – Fausto Papetti
Rythm « sur » blues soutenu, très rentre dedans et en arpège de guitare.
08 River deep, Mountain High – The Detroit Sounds
Version fort entraînante et break totally psyché à l’orgue.
09 Enter the Dragon – Jack Parnell et son orchestre
Wah wah, basse et percus pour soutenir la mélodie des cuivres.
10 The french connection – Geoff Love & his Orchestra
Marche rapide pour battement groovy et mélodie de corde.
11 Car wash – Carnaby Group
Hand clap, percus pour une version classic de ce titre.
12 Theme from shaft – Percy Faith
Une autre version ou l’orchestration a la part belle.
13 Thank’s god it’s Friday – Christopher John et son Orchestre
Disco beat pour cette version “so” classic.
14 I heard it through the grapevine – Le Grand Orchestre de Paul Mauriat
Orchestration cuivres et violons pour cette version fort originale, belle lecture du titre.
15 Little child runnin’ wild – Claude Ciari
Le nylon des cordes répond à la flûte et la saturation s’invite pour mettre de l’intensité.
16 Cafe regio’s – Soul Mann & The Brothers
Interprétation classic et « expresso », ce morceaux nous ballade agréablement.
17 Theme from police story – Ray Conniff
Batterie marquée et claviers soutienne la flûte et les cuivres.
18 Appelez-moi monsieur tibbs – Pierre Tchernia présente…
Groovy rythme, ballade d’orgue et multiples cassures rythmiques.
ET BONNE ANNEE A TOUS
