mardi 1 mai 2007

Saison 1 - Episode 9


Le son de coups rage
Chaque jour, l’infâme CacoPhonor gagnait du terrain sur la VinylSphère en répandant
ladAuBE par tous les moyens, TééFeHun, aiMheuSiss, hAineAirGie, AndéMaule, autant d’ignobles organisations qui aidaient le vil CacoPhonor dans sa sale entreprise. Et tous les dimanches matin, notre intrépide agent et son fidèle compagnon PriCe-FisHer se rendaient bien compte que les indices se faisaient de plus en plus rares, fondant comme vinyl au soleil et remplacés par ces sournois objets, les CéDaisDedAuBE qui emplissaient nos beaux étals de leur vulgaire artifice.
Et ce dimanche matin ne faillit pas à l’accoutumée. C’est armé de leur maigre pécule qu’agent et valet se rentrèrent dépités à ElectroLAnd. Longeant le quartier du CanaPouts, notre héros alla faire son rapport à la B.S.T., rapport rapide qui ne dura que 45 tours. Le désarroi se lisait sur la tête de lecture du directeur orTeFOn, mais notre intrépide agent proposa une mission fortement risquée mais de la plus haute importance : partir chercher des indices au pays des BitEulsse, l’EngleTaire, fief des MaudZe et des RauqUairs, patrie de la PaupMusiK. Là-bas l’agent leCurLing était sûr de trouver des indices afin de combattre l’infâme CacoPhonor.

Pour cette mission périlleuse, l’agent leCurLing fit un tour dans le laboratoire de MisterQuiou afin que celui-ci le fournisse en gadgets pour le bien de sa mission. Tout d’abord un véhicule confortable, une training RibOuque (petite anglaise nerveuse à scratch sur le côté, il va de soi), puis une sacoche pour 33 tours avec renforts latéraux et ouverture pression pour une plus grande rapidité, ainsi qu’une poche latérale pour les cd ; leCurLing savait bien que l’on ne pouvait pas passer à côté de certaines rééditions sous ce format.
La mission semblait se présenter sous les meilleurs hospices. Bien sûr Lady béneLoppe s’était proposée pour seconder notre agent, ayant elle-même quelques missions de la plus haute importance à mener auprès de LibAireti ou AreaudZe. Elle fut en charge, pour détourner l’ennemi CacoPhonor, de la commande des billets auprès de la EsseHainCéaiF et de la réservation des chambres à l’hôtel MaiReKure.

Nos héros et Lady BéneLoppe traversèrent facilement le TuneAileSouLameNchE à bord de l’HeurOstAre, et arrivèrent à bon port. Bien sûr, il fallut négocier pour que les deux missions, celle de l’agent leCurLing (de la plus haute importance pour la VinylSphère) et celle de Lady BéneLoppe (de la plus haute importance pour… euh… ah… oui ! pour Lady BéneLoppe) cohabitent.
D’abord SauHau, depuis l’hôtel, c’est sur la route de PiquAdiliCircuSse puis BaireWiquesTriite. Pour une première journée c’était déjà bien, mais pas suffisant. Le lendemain à la première heure, leCurLing et Lady BéneLoppe partirent pour PorcTeauBailorode. Une matinée de dure recherche, harassante et épuisante, et après un léger encas fort onéreux, la vie étant très chère en EngleTaire, nos deux héros repartirent dans les quartiers branchés tel JoliEpont, s’équipant en indices de rythmes nouveaux comme laDreUmeandeBasse et autres rythmes modernes. Enfin le dernier jour fut consacré à Quandemmetaomne et son marché du dimanche matin qui rappela à notre agent les brocantes dominicales de la VinylSphère.

Le séjour s’était passé de fort belle manière et notre agent allait pouvoir rentrer à ElectroLAnd armé de nouveaux indices, autant dire que les oreilles de cacoPhonor allaient chauffer et que celles de nos amis allaient se régaler. Devant la réussite de cette mission la B.S.T. félicita notre agent, l’invitant à aller voir du côté des AitaZuni la possibilité d’une quête à l’indice au pays berceau du RauQaineRaulle.

P.S. 1 : Oh joie, Whoops nous repost les 2 premières compiles “le boom boom” Si vous ne les possédez pas encore courrez sur http://oopswhoops.blogspot.com/

P.S. 2 : sa bouge dans tout les sens y a du bonson et des images chez Manu une visite chez lui s’impose au http://my.opera.com/MANU.../blog/

P.S. 3 : bien le bonjour au docteur Bombay qui aime les vinyls poussiéreux sur son blog tout en liens, y en a de partout et sa décape (petite nature s’abstenir) http://kjbi.blogspot.com/

ALORS !!!
À BIENTÔT DANS TA SÉRIE BRUTDEGROOVE

La série groove • jerk • lounge
Avec du rythme, des basses, du fuzz.
Mais aussi de l’amour et des violons.

SuperCompil 11
CacoPhonor, casse toi tu pues et marche à Londres

La pochette est ici, le son est dans le post
Tracklisting
1 London calling - The Clash
La rythmique martèle et supporte les voix scandaient, le feu couve dans Londres.
2 in & out in Paris & London – The Divine Comedy
Les vocaux lyriques se pose sur une rythmique puissante avec petit effet de vibre.
3 London Look – Herman’s Hermits
Petit ritournelle très swinging London aux guitares aériennes et aux vocaux légers.
4 A London – Petula Clark
Petit titre fort plaisant fait de violon et de petite flûte.
5 London Town – Wings
Quand maître Paul parle de Londres les accords se font précieux et la mélodie subtile.
6 Street of London – Raph McTell
Arpège de guitare complexe pour cette complainte folk comme si Londres et le Far-West ne faisait qu’un.
7 A foggy day in London town – Ella et Louis
Comme une fin de journée quand la brume habille les voix sont profondes sa sent le pub et le scotch.
8 Lullaby of London – The Pogues
Et quand sa sent le scotch la fibre patriotique se réveille sonné bombarde résonné tambour.
9 London – David Axelrod
Comme toutes les structures musicales de David Axelrod ce titre fait appel à la puissance du groove jazzy et sa complexité rythmique.
10 London 1995 - DJ Cam
Urbain urbain le titre alterne les parties lentes et celles rapides rendant l’ambiance de la ville.
11 London England – Corduroy
Après le son des cloches une petite mélodie remplie de cuivres et d’orgue fait voyager dans les rues colorées au reste victorien.
12 A London sumtin – Tek9
Drum&bass qui sent l’effervescence de Piccadilly et le tube station at midnight.
13 London lady – The Stranglers
Toute la violence punk pour ce titre plus femme de tête que lady.
14 London burning – The Clash
Et on termine comme on a commence comme quoi on retourne toujours aux mêmes endroits : portobello, Camden Town, Berwick Street. Si Londres appel, J’ARRIVE !