samedi 19 décembre 2009

Saison 3 – Episode 22


Fin de série pour cacophonor
Bonjour agent leCurLing, votre mission vous mènera au pays des Stetsons et des siantags pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession de ces épisodes cultissimes et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.
Tous les après-midi à la sortie du repas, le bon Price-Fischer allait rejoindre ses quartiers prétextant des recherches pour des enquêtes et tous les après-midi vers les 15 heures, on le voyait reparaître avec la marque du coussin sur le côté droit. Que pouvait-il bien se passer dans les quartiers de Price-Fisher ? Après-midi, enquête, sieste… bon dieu mais c’est bien sûr ! le brave Price-Fisher se matait un épisode de Derrick à sa sortie de table.

"Mon cher leCurLing, je viens de recevoir une carte de félicitation des membres de la R.O.S.B.I.F. Votre mission a été un réel succès, d’ailleurs vous qui aimez les séries et un doigt de whisky*, visiblement, vous allez pouvoir vous régaler’. ‘Comment cela mon cher directeur Ortofon ?’ ‘Vous partez prochainement à Los Angeles pour une mission somme toute similaire à la précédente, j’attends ce lundi, mardi, jours heureux, mercredi, jeudi, jours heureux un agent de la Fédération des Olibrius Nationaux et des Zigomars Internationaux qui…’ ‘Comment !!!’ interrompit notre agent ‘Vous attendez un éminent représentant de la F.O.N.Z.I., la classe !!!’ ‘Oui oui, mais c’est un peu grâce à vous si la F.O.N.Z.I. fait appel à nous, en tout cas ce qui est sûr, c’est qu’il compte sur nous’.
Le directeur Ortofon et l’agent leCurLing reçurent l’agent Max Himmum de la F.O.N.Z.I dans la grande salle de réunion de la B.S.T. Devant le paper board, il expliqua, l’agent Max, la menace qui rôdait dans son pays : le vil cacophélon, après son échec anglais, avait traversé les océans afin de s’en prendre à la production des séries américaines’ ‘Oh le vil scélérat ! s’écria le directeur Ortofon’.
Profitant de la traversée à bord du Concorde, fleuron de l’aérospatiale européenne, notre héros et l’agent Max Himmun commencèrent le travail, il était d’ailleurs hors de question que l’agent Max, y bulle. Jusqu’aux Etats-Unis, sortant un mini-ordinateur, il débuta les explications nécessaires à cette nouvelle mission. Hum, le mot était tout trouvé, puisque tout commençait avec Mission Impossible, cette série de 171 épisodes de 50 minutes, créée par Bruce Geller et diffusée entre le 17 septembre 1966 et le 30 mars 1973 sur le réseau CBS. Cette série, immortalisée par la musique de Lalo Schiffrin et son entrée en matière via un magnétophone, met en scène une équipe d’agents secrets américains membres de l’Impossible Mission Force, Chacun de ces agents est un expert dans un domaine, dans la plupart des épisodes, ces agents cherchent à sauvegarder les intérêts des Etats-Unis en intervenant dans des pays fictifs d’Amérique latine ou d’Europe de l’Est. Leurs missions sont très diverses et très dangereuses, le tout dans un contexte de guerre froide. Leurs opérations ne sont pas légales, mais les moyens sont incroyablement sophistiqués : sosie, mise en scène électronique, imitation. Même si la série a comme personnage principal une équipe, on trouve une vedette et des personnages récurrents. La vedette est Peter Grave qui, sous les traits de Jim Phelps, incarne le chef de l’équipe, mais on trouve également Barbara Bain dans le rôle de Cinnamon Carter, Greg Morris dans celui de Barney Collier, Peter Lupus est Willy Armitage et enfin Martin Landeau joue Rollin Hand.

Dans le building de verre où se terrait l’équipe de l’infâme cacophonor, une perfide activité se déployait : le redoutable Jules Hillesseko et sa femme d’honneur, l’indélicate woman, la féline et sexy Sherry Bibi, travaillaient à leur vil projet en mettant la main sur moult document. Il fallait faire vite pour nos deux agents. D’ailleurs, en parlant de deux agents, le duo scabreux de Jules, Sherry, les inventeurs de l’école obligatoire, avait pris possession des documents concernant Starsky et Hutch, série de 92 épisodes de 48 minutes et d’un pilote de 70 minutes, créée par William Blinn et diffusée entre le 30 avril 1975 et le 15 mai 1979 sur le réseau ABC. Cette série met en scène deux policiers californiens, Starsky le brun et Hutch le blond qui ont tous les deux une passion commune pour les femmes. Aidés par leur ami ‘Huggy les bons tuyaux’, ils résolvent les enquêtes qui leur sont adressées par leur capitaine Dobey. Les méthodes décontractées et musclées des deux policiers ont apporté un vent nouveau dans le genre, mais une campagne anti-violence à la télé ébranle la série en 1977, les scénaristes sont contraints de couper les scènes de combat au profit de scènes plus comiques ou romantiques, l’esprit de la série n’est plus là.

La sexy et sculpturale Sherry Bibi était une redoutable assistante dont le vil Jules Hillesseko ne disait que du bien. Sa fidélité et ses états de service parlaient pour elle et lorsqu’elle arriva avec les indices sur la série Mannix, subtilisés avec subtilité, le vil serviteur de cacophonor fut ravi et la félicita avec empressement avant de se plonger dans la lecture de ce dossier : Mannix, série en 194 épisodes de 50 minutes, créée par Richard Levinson et William Link et diffusée entre le 16 septembre 1967 et le 13 avril 1975 sur le réseau CBS. Cette série met en scène à Los Angeles les enquêtes de Joe Mannix interprété par Mike Connors, le générique se présente d’une façon originale sous forme de kaléidoscope et sur une musique de Lalo Schiffrin.
En cette soirée de gala du monde des séries, au casino Cartouche, la belle et la bête se pavanaient, sûrs de leur succès à la roulette. C’est lorsqu’ils partirent s’asseoir à la table de poker que notre héros l’agent leCurLing et l’agent Max Himmun se joignirent à eux. Le regard en coin fusait et très vite l’agent leCurLing sentit que la belle Sherry Bibi n’était pas insensible à son charme. Alors que la partie commençait, la tension montait, le démoniaque Jules Hillesseko servait les cartes. Il en tendit deux à notre agent qui les souleva discrètement, c’étaient deux cœurs, il relança de dix, puis le vil Hilessko se servit deux cartes, mais l’agent leCurLing avait vu le sale manège du scélérat : une énorme bague à son doigt lui servait de glace pour voir les cartes distribuées. L’agent leCurling demanda trois cartes… mais avant cela un martini on the rocks pour lui et il se permit d’en offrir un à l’infâme sbire de Cacophonor, et lorsqu’on porta le verre plein de glace à côté de la main de Jules Hillesseko, un phénomène de condensation se fit formant de la buée sur la bague qui empêcha le sale tricheur de voir les cartes de notre héros, le bluff allait enfin pouvoir commencer. Des heures durant, les deux protagonistes relançaient quand tout à coup Jules Hillesko dit : ‘Pour voir’ et présenta un carré de rois sur la table avec un de ces sourires de vainqueur en coin… ‘Couleur’ lui répondit leCurLing en alignant cinq cœurs puis levant les yeux vers Serry Bibi il dit : ‘il ne me manque que la dame de cœur. C’en était trop pour Jules Hillesko qui quitta la table, plutôt amère de sa défaite.

Le soir venu, nos deux agents se devaient de passer à l’action pour récupérer les indices volés par les méchants. Ils se présentèrent devant la porte de l’immeuble de verre des vilains et au moment même ou l’agent Max toc à la porte, celle-ci s’ouvrit sur la sexy Sherry Bibi accueillante à souhait. Là l’agent Max tic, mais notre héros l’agent leCurLing ne se démonte pas. Il enlace la belle, la regarde dans les yeux, elle soupire d’un petit râle, puis l’agent lui dit ‘Mène nous aux indices’, ‘Pas avant de faire une petite partie de bataille’ lui dit la féline Sherry, ‘Ne veux tu pas que je te belote plutôt’, ‘Ohhhhhhh je suis ramis’ dit la belle, mais à ce moment et après avoir assommé le malheureux agent Max, le vil Jules Hilesseko apparut les yeux injectés de haine et de jalousie. Se saisissant d’un couteau, il attaqua notre héros. Le coup porté au flanc de notre valeureux agent le fit vaciller, Jules Hillesko leva son arme pour l’abattre sur notre héros quand un coup de feu retentit : c’était la sexy Sherry qui avait tiré sur son mari, celle-ci s’effondra en pleurs auprès du corps du défunt, mais le charme de notre héros l’avait remise dans le droit chemin. Remis de ses émotions, l’agent Max attaque les bureaux afin de récupérer les indices.

De retour à la B.S.T. le directeur Ortofon félicita notre glorieux agent, et lui dit ‘Cher leCurLing je vous octroie quelques jours de congé, qu’allez vous faire pendant ces quelques jours ? Rejoindre une de ces créatures de rêve rencontrée lors de vos missions ?’ ‘Hum non cher directeur Ortofon, je pense emmener Lady Béneloppe en voyage’ ‘Merveilleux’ dit le directeur Ortofon ‘ et où ?’ ‘sur une île paradisiaque’ ‘Hé hé laquelle mon cher leCurLing ?’ ‘Sur l’île de la Troc ah ! ah ! ah !’.

*lire Episode 21 Les états d’âme de Cacophonor, c’est pleurs en série

aglhaagla aglhaagla ou ta vus le réchauffement de la planête la vache sa pelle !
Oui oui ici le vin chaud, merci. Bon bin un peu de ziqmu avec une compile american soundtrack. Et puis bonne fêtes avec des cotillons, des boules et des cadeaux, mais aussi du foie gras et du saumon.
Et alors... et alors... et oui on dit a l'année prochaine une petite saison 4, mais plus tranquille plus qu'un épisode par mois. Alors a plus avec du gro... oh oh c'est bon a l'année prochaîne tout court.

mercredi 2 décembre 2009

Saison 3 – Episode 21

Cacophonor, c’est pleurs en série
Bonjour agent leCurLing. Votre mission vous mènera au pays des chapeaux-melon et bottes de cuir pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession des épisodes cultissimes et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.
Ca faisait bien 24 heures chrono que Lady Béneloppe, ma sorcière bien aimée, se plaignait telle la desperate housewife que la petite maison dans la prairie était une véritable porcherie. Au moment de recevoir toutes les saintes chéries de copines, il y avait urgence et même si ça semblait mission impossible, l’adams family allait tout ranger, pour lui faire plaisir.

‘Tu ne m’auras pas leCurLing ah ! ah ! ah ! I’m the devil !’ cria dans un éclat de rire satanique le vil bras droit de Cacophonor, j’ai nommé le redoutable Larsenax, car le coup de matraque que celui-ci avait donné par traîtrise à notre héros lui avait permis de s’échapper. Courant le long de la falaise d’Etretat, le vil cacophélon allait s’échapper avec le manuscrit de l’œuvre parfaite, du chant des anges, de la mélodie du bonheur. L’agent leCurLing rassembla toutes ses forces et courut après le démoniaque Larsenax puis le plaqua au sol. S’ensuivit un violent combat où les coups bas de Larsenax répondaient aux joutes de savate de l’agent leCurLing. Ce dernier, après un nouveau coup de Trafalgar du satanique Larsenax se retrouva presque dans le vide et c’est au moment même où celui-ci allait projeter notre héros dans le vide que l’agent leCurLing trouva la force de faire un mouvement de côté, laissant Larsenax disparaître dans les eaux tumultueuses après une chute de plus de 200 mètres. L’agent leCurLing n’avait bien sûr point omis d’arracher le manuscrit avant la chute du démon.
‘Félicitations’ s’exclama le directeur Ortofon en tapant un grand coup sur l’épaule de notre héros qui eu du mal à masquer un rictus de douleur. ‘Oh mon dieu désolé leCurLing, mais vous êtes tellement fort que j’en oublie que vous êtes un homme, mais malheureusement vous n’aurez pas vraiment le temps de vous refaire la cerise mon bon leCurLing, car j’attends d’un moment à l’autre un agent de la Royal Organisation Spécial Britannique d’Information Filmographique’. Le directeur Ortofon avait à peine fini sa phrase que la voix de Monnaie Puni retentit dans le dictaphone ‘Directeur Ortefon, l’agent de la R.O.S.B.I.F est arrivé’ ‘Faites-le entrer’ répondit le directeur. Dans le bureau du directeur Ortofon, les deux hommes s’attendaient à voir un agent britannique bon teint avec son chapeau melon et son parapluie, une petite moustache soignée et des manières délicates. Grande fut leur surprise quand devant eux se présenta une splendide et admirable jeune femme toute en combinaison de cuir vêtue, ‘Hello dear’ je suis Emma Peelorface, déléguée par la R.O.S.B.I.F pour assister l’agent leCurLing dans sa mission’. L’agent leCurLing se tourna prestement vers le directeur Ortofon ‘Mais bon dieu quelle mission ?’ ‘Hum oui leCurling, je ne vous ai pas encore parlé de cette mission, pouvez-vous l’éclairer Miss Peelorface ?’ ‘Yes… well les hommes de Cacaphonor s’attaquent à la Base Britannique Cinématographique la B.B.C. Le combat est rude et nous avons besoin de vous pour repousser l’envahisseur’.

La ravissante Emma Peelorface prit la mallette qu’elle avait posée dans le porte-bagage de l’Eurostar, puis elle commença à briefer notre héros ‘En tout premier lieu cher agent, je me dois de vous parler de Chapeau melon et Bottes de cuir, appelé chez nous ‘The Avengers’. Cette série télévisée comporte 191 épisodes de 52 minutes dont 104 en noir et blanc. Créée par Sydney Newman et Leonard White, elle est diffusée sur le réseau ITV1 du 7 janvier 1961 au 21 mai 1969, une seconde série appelée ‘The New Avengers’ composée de 26 épisodes est diffusée entre 22 octobre 1976 et le 18 novembre 1977. Au départ le personnage que joue Patrick Mcnee n’est qu’un second rôle. C’est à partir de la seconde saison que John Steed, le personnage, devient le héros de la série. D’abord assisté pendant trois épisodes par un homme, c’est Honor Blackman qui, sous les traits de Cathy Gale, va devenir sa partenaire et ce durant toute la saison 3. Elle est belle et efficace, il est élégant, tout en flegme et humour britannique, la série va connaître un immense succès, la qualité des scénarios progresse sous l’impulsion de Brian Clemens qui restera toujours attaché à la série pour lui avoir donné ses lettres de noblesse. La quatrième saison voit apparaître Emma Peel (joué par Diana Rigg), elle n’a peur de rien et une véritable complicité existe entre les deux personnages avec des dialogues souvent à double sens. On la retrouve lors de la cinquième saison ainsi que des acteurs tels que Christopher Lee, Donald Sutherland ou Charlotte Rampling, ce sera la dernière saison de Diana Rigg. Pour la sixième, elle est remplacée par Linda Thorson dans le rôle de Tara King, mais la série devient de plus en plus coûteuse et au moment du retrait du producteur américain, les anglais ne peuvent se résoudre à la produire seuls, la série s’arrête en pleine gloire. En 1976, une nouvelle série d’épisodes voit le jour avec Joanna Lumley dans le rôle de Purdey et Gareth Hunt dans celui de Mike Gambit, personnage créé pour les scènes d’action, Patrick Mcnee commençant à prendre de l’âge.’ Miss Peelorface avait à peine fini son exposé que nos deux agents arrivaient en gare de Waterloo.

La ravissante Miss Emma Peelorface gravit les marches de cette haute échelle afin de récupérer un dossier dans l’immense salle d’archives des R.O.S.B.I.F. ‘Ah voilà je l’ai, venez m’aider. Impassible, l’agent leCurLing se plaça sous l’échelle afin d’attraper le dossier. Une fois sur le plancher des vaches, la belle dit ‘Well well well, ah voilà Amicalement vôtre ‘The Persuaders’. Cette série de 24 épisodes de 49 minutes, créée par Robert S. Baker est diffusée sur le réseau ITV entre le 17 septembre 1971 et le 25 février 1972. La série met en scène deux hommes fortunés et quelque peu désœuvrés, le Britannique Lord Sinclair joué par Roger Moore et l’homme d’affaires américain sorti des bas-fonds de New-York Danny Wilde joué par Tony Curtis, mis en contact par le juge Fulton, un juge à la retraite qui a des comptes à régler avec la pègre. Le premier épisode raconte la rencontre des hommes, avec une mémorable course-poursuite entre Nice et Monaco, Danny Wilde roule en Ferrari Dino et Brett Sinclair en Aston Martin DBS 6. L’humour britannique de Roger Moore et les pitreries de Tony Curtis assurent le spectacle, mais même si les deux hommes s’entendent à merveille, la série ne convainc pas le public américain. Cette absence de succès et le départ de Roger Moore pour le cinéma entraîne la fin de la série au bout d’une année.’ Tous ces renseignements étaient précieux pour l’agent leCurLing, ‘Attendez, tenez-moi l’échelle, je remonte’ dit la belle Emma, ‘Non non pas la peine, j’ai les éléments de la prochaine série, le Prisonnier, une série de 17 épisodes de 48 minutes, créée par George Markstein et Patrick McGoohan qui sera diffuée du 1er octobre 1967 au 4 février 1968 sur le réseau ITV et tournée dans le village de Portmeirion au Pays de Galles. Lorsque l’agent secret interprété par Patrick McGoohan démissionne brutalement de son poste, il rentre au volant de sa Lotus seven et, alors qu’il est en train de faire ses valises dans son appartement, un gaz anesthésiant est diffusé dans la pièce. A son réveil, il se retrouve au village, une communauté composée de villageois numérotés comme lui et de leurs geôliers formant deux classes indifférenciables, il sera désormais le numéro 6’ ‘Well mon cher leCurLing, votre connaissance est grande’ soupira la ravissante Emma Peelorface.

Oui mais il fallait maintenant passer à l’action et bouter les cacophélons hors de nos télévisions. Malgré les douleurs de son précédent combat, l’agent leCurLing allait affronter les hommes de Cacophonor. La belle Emma Peelorface avait fourni les armes et la dynamite, et nos deux héros allaient tendre un piège aux hommes de Cacophonor. La première explosion prit les vilains de court, c’était la débandade dans le camp des méchants. A.B. Daure O’Thé, l’homme de Cacophonor, prit les bobines et chercha à s’enfuir par le toit, leCurLing partit à sa poursuite. Pendant ce temps, la belle Emma faisait péter à tour de bras les grenades. L’agent leCurLing plaqua le vil Daure O’Thé et un violent combat s’ensuivit, mais un coup fielleux mit à mal notre agent qui risquait de chuter du haut du toit, l’histoire allait-elle se renouveler ? Hé bien OUI, au moment où le vil Daure O’Thé allait le projeter, notre héros se jeta de côté laissant le vilain choir dans le vide.
Afin de fêter la victoire, la belle Emma et notre agent se retrouvèrent dans un de ces fort agréables pubs anglais tout en bois chaleureux. Nos deux héros se remémorèrent leurs exploits, puis l’agent leCurLing proposa un whisky à la belle Emma ‘Oh juste un doigt’ ‘Vous ne préférez pas une partie de fléchettes avant ?’ rétorqua notre héros.

des soundtrack de séries en série avec avengers, thunderbirds, mannix, hawaï police d'état, les professionnals et également les dézessepéraite housseouaiffe que du lourd les amis.
Alors bonne nuit les petits pow pow pow.