L’éreintant retour dans le temps
s’étant pourtant autant !
s’étant pourtant autant !
Le directeur Ortofon avait convié l’agent leCurLing à une réunion de la plus haute importance car de son emplacement stratégique, le dernier étage de la B.S.T. (la Brigade de Sauvegarde du Tempo), le directeur ortofon pouvait voir les programmes débilisants administrés aux nainblonds : moult dessin-nés aux couleurs criardes, aux scénarios approximatifs et aux effets dévastateurs pour des nainblonds innocents. Les divers crapauds ninja, pokédimond et autres acrobates du football de l’espace galactique rendaient les nainblonds addict à l’écran, provoquant chez eux crises de pleurnichement à l’idée d’abandonner la vision de ces cacophilms dessinés pour aller se coucher.
Le directeur Ortofon sentait l’urgence venir, car il semblait de plus en plus difficile de contrôler les nainblonds, et avant d’en arriver à la répression totale : la F.E.S.S.É (le Fondement Enfantin Super Sensible Écorné), décision fut prise par les membres éminents de la B.S.T. d’agir pour éviter les rébellions infantiles. Et pour se faire, le directeur ortofon avait décidé de faire remonter dans le temps l’agent leCurLing afin d’identifier la période où les programmes télévisés avaient pu déraper et trouver les fautifs afin de les faire comparaître devant la cour suprême NTM (Négligence Télévisuel Mercantile). OUI, cette mission de la plus extrême importance, mais aux risques importants, ne pouvait d’après le directeur ortofon qu’être confié à un agent de la trempe de l’agent leCurLing dont la bravoure était reconnue de tous !
Il va de soi que l’intrépide agent leCurLing accepta cette mission, aussi périlleuse qu’elle soit, mais comme toujours la sauvegarde de la vinylsphère passait avant tout, à ses yeux. Le directeur ortofon convia notre valeureux héros à le rejoindre au laboratoire de Mister Quiou, l’ingénieux ingénieur inventeur d’armes secrètement fabriquées à usage secret d’agent sacré secrétant le sacre du succès, enfin un bon bricoleur quoi ! Et pour cette délicate mission, mister Quiou avait inventé une incroyable machine à remonter le temps, une splendide machine qui allait permettre à notre vaillant leCurLing de découvrir à partir de quel moment, voire de quel programme, la sécurité de nos chères têtes blondissantes de nainblonds avait pu être mise en péril. C’est pour se faire que Mister Quiou présenta à l’agent leCurLing sa machine à remonter le temps, machine qu’il avait baptisée l’I.N.A (Intrépide Navigateur d’Antant) et dont le fonctionnement semblait assez simple : dans une sorte de soucoupe volante, avait été installée une cabine de pilotage des plus pratique et à la technologie des plus avancée. Cette cabine était composée d’un fauteilclub à l’ergonomie parfaite pour une position optimale, d’un écran plasma au son dolby suround stéréo de son lecteur 500.1.5.10 code secret pour le lecteur DIVX intégré, d’une télécommande blutooth redlaser and greentouch pour le contrôle de cet appareil, d’un water pouf repose pied, d’une tablebasse et surtout d’un minibar rempli à ras bord de carburant houblonesque, pailfaurtebrune et ainnequaine, nécessaire au bon fonctionnement de l’appareil. Et c’est ainsi armé que notre valeureux agent partit remplir sa mission, insérant le premier kompaktedisc dans la fente du DIVX.
Cela faisait plusieurs heures que notre vaillant agent leCurling avait ingurgité des kilomètres d’émissions de jannauhain à pierbaillemare, des vachettes intervillageoise de guiluxe au mariage principalement princier de laionzitraune, mais rien de vraiment répréhensible selon notre héros ; même daniailgillebaire ne pouvait être condamnable. Les images défilaient devant les yeux rougis de fatigue de notre héros et toujours pas l’once d’un coupable. MAIS, ce fut au moment où le découragement allait gagner notre vaillant agent, que le miracle se produisit. Là, devant ses yeux, un programme empli de cacophadeise défilait, un programme nommé raicraiadeu, orchestré par l’hystérique daurauthé dont l’arme fatale, le cri qui exaspère, se manifestait de façon régulière dans le vil programme. OUI, cette indélicate intrigante aidée dans son maléfique projet par de non moins cacophunestes personnages tel l’irrationnel Kaurbier, ou le sanguinaire jaqui. Mais l’arme fatale de daurauthé restait : ailaine hai les garsson, une improbable histoire d’étudiant en cafétéria et de groupuscule soi-disant musical n’ayant comme composition que des fins de morceaux, une arme fatale où les valeurs de la jeunesse se perdaient dans les yeux bovins d’actrices dont la seule qualité artistique restait la croupe chevaline, ouvrant la bouche dans le seul espoir d’aérer leur cerveau qui, une fois secoué, faisait un bruit d’évier. Oui, les fautifs étaient enfin démasqués.
L’agent leCurLing posa l’I.N.A. au sol et alla rendre compte au directeur Ortofon, afin que celui-ci fasse comparaître les belligérants devant la cour suprême N.T.M. Mais à l’évidence, ces affreux personnages étaient déjà tombés bien bas et pour la plupart disparus dans l’anonymat le plus total, voire dans le ridicule le plus grotesque. Il ne servait à rien de les faire comparaître devant la justice, car cacophonor les avaient abandonnées sur la route après les avoir pressés comme des citrons.
Mais cette mission servit à l’agent leCurling pour donner une bonne leçon aux nainblonds, leur expliquant que la télé n’était point la vérité et qu’il valait mieux compter sur ses amis.
Ainsi cacophonor fut vaincu par une bonne morale, politicalement correcte, au goût du jour !
Le directeur Ortofon sentait l’urgence venir, car il semblait de plus en plus difficile de contrôler les nainblonds, et avant d’en arriver à la répression totale : la F.E.S.S.É (le Fondement Enfantin Super Sensible Écorné), décision fut prise par les membres éminents de la B.S.T. d’agir pour éviter les rébellions infantiles. Et pour se faire, le directeur ortofon avait décidé de faire remonter dans le temps l’agent leCurLing afin d’identifier la période où les programmes télévisés avaient pu déraper et trouver les fautifs afin de les faire comparaître devant la cour suprême NTM (Négligence Télévisuel Mercantile). OUI, cette mission de la plus extrême importance, mais aux risques importants, ne pouvait d’après le directeur ortofon qu’être confié à un agent de la trempe de l’agent leCurLing dont la bravoure était reconnue de tous !
Il va de soi que l’intrépide agent leCurLing accepta cette mission, aussi périlleuse qu’elle soit, mais comme toujours la sauvegarde de la vinylsphère passait avant tout, à ses yeux. Le directeur ortofon convia notre valeureux héros à le rejoindre au laboratoire de Mister Quiou, l’ingénieux ingénieur inventeur d’armes secrètement fabriquées à usage secret d’agent sacré secrétant le sacre du succès, enfin un bon bricoleur quoi ! Et pour cette délicate mission, mister Quiou avait inventé une incroyable machine à remonter le temps, une splendide machine qui allait permettre à notre vaillant leCurLing de découvrir à partir de quel moment, voire de quel programme, la sécurité de nos chères têtes blondissantes de nainblonds avait pu être mise en péril. C’est pour se faire que Mister Quiou présenta à l’agent leCurLing sa machine à remonter le temps, machine qu’il avait baptisée l’I.N.A (Intrépide Navigateur d’Antant) et dont le fonctionnement semblait assez simple : dans une sorte de soucoupe volante, avait été installée une cabine de pilotage des plus pratique et à la technologie des plus avancée. Cette cabine était composée d’un fauteilclub à l’ergonomie parfaite pour une position optimale, d’un écran plasma au son dolby suround stéréo de son lecteur 500.1.5.10 code secret pour le lecteur DIVX intégré, d’une télécommande blutooth redlaser and greentouch pour le contrôle de cet appareil, d’un water pouf repose pied, d’une tablebasse et surtout d’un minibar rempli à ras bord de carburant houblonesque, pailfaurtebrune et ainnequaine, nécessaire au bon fonctionnement de l’appareil. Et c’est ainsi armé que notre valeureux agent partit remplir sa mission, insérant le premier kompaktedisc dans la fente du DIVX.
Cela faisait plusieurs heures que notre vaillant agent leCurling avait ingurgité des kilomètres d’émissions de jannauhain à pierbaillemare, des vachettes intervillageoise de guiluxe au mariage principalement princier de laionzitraune, mais rien de vraiment répréhensible selon notre héros ; même daniailgillebaire ne pouvait être condamnable. Les images défilaient devant les yeux rougis de fatigue de notre héros et toujours pas l’once d’un coupable. MAIS, ce fut au moment où le découragement allait gagner notre vaillant agent, que le miracle se produisit. Là, devant ses yeux, un programme empli de cacophadeise défilait, un programme nommé raicraiadeu, orchestré par l’hystérique daurauthé dont l’arme fatale, le cri qui exaspère, se manifestait de façon régulière dans le vil programme. OUI, cette indélicate intrigante aidée dans son maléfique projet par de non moins cacophunestes personnages tel l’irrationnel Kaurbier, ou le sanguinaire jaqui. Mais l’arme fatale de daurauthé restait : ailaine hai les garsson, une improbable histoire d’étudiant en cafétéria et de groupuscule soi-disant musical n’ayant comme composition que des fins de morceaux, une arme fatale où les valeurs de la jeunesse se perdaient dans les yeux bovins d’actrices dont la seule qualité artistique restait la croupe chevaline, ouvrant la bouche dans le seul espoir d’aérer leur cerveau qui, une fois secoué, faisait un bruit d’évier. Oui, les fautifs étaient enfin démasqués.
L’agent leCurLing posa l’I.N.A. au sol et alla rendre compte au directeur Ortofon, afin que celui-ci fasse comparaître les belligérants devant la cour suprême N.T.M. Mais à l’évidence, ces affreux personnages étaient déjà tombés bien bas et pour la plupart disparus dans l’anonymat le plus total, voire dans le ridicule le plus grotesque. Il ne servait à rien de les faire comparaître devant la justice, car cacophonor les avaient abandonnées sur la route après les avoir pressés comme des citrons.
Mais cette mission servit à l’agent leCurling pour donner une bonne leçon aux nainblonds, leur expliquant que la télé n’était point la vérité et qu’il valait mieux compter sur ses amis.
Ainsi cacophonor fut vaincu par une bonne morale, politicalement correcte, au goût du jour !
BRUTDEGROOVE – SAMPLER 4
AIDE TOI LE GROOVE T’AIDERA
AIDE TOI LE GROOVE T’AIDERA
Et voilà le quatrième tome de nos aventures musicale ou l’on démarre avec un extrait de ‘Picolo saxo a music city’ une musique d’André Popp ou la guitare de Jean-Pierre Alarcen wahwahte avec plaisir puis suivent le Nord Gospel Groupe dans ‘La peur’ avec son couplet psychédélique encore un titre à la gloire du seigneur étonnant, visite dans le surréalisme musicale et le break subtil avec ‘Pourquoi pas ?’ de ce merveilleux arrangeur qu’est Michel Colombier qui sévissa au côté de Pierre Henry, Gainsbourg voir même Prince, on continue avec ‘Strong dance’ d’Abrax album à l’oreille nait de la collaboration de Jean-Claude Pierric et Claude Dauray titre qui nous même à notre page jazzy qui s’ouvre avec le Dog’s Flea de Jack Dieval sur l’album ‘Classic & rythm for dreaming’ se continue par la superbe reprise de ‘Caravan’ de Duke Ellington par le Jet Quartet et ce termine avec France Gall dans ‘Le cœur qui jazz’ titre signé Alain Goraguer, on garde se côté mood pour poursuivre avec se titre au sonorité très ‘Je t’aime moi non plus’ avec ce ‘Je t’aime normal’ de Jean Sarus échappé des Charlots s’ensuit le ‘Docteur docteur’ de Labi Siffre titre smooth groove ensuite on réattaque psyché jerk avec ‘Pas de problème’ ou comment retrouver les Charlots un petit coup de fuzz guitare avec ce groupe d’origine germanique que sont les The Dukes, normal après le docteur de voire le ‘The dentist’ puis on aborde la partie groove en débutant avec Jean Elias et son ‘How long can i go on fooling myself’ puis le ‘My girl’ de Gerard Chatelain un clone du ‘Qu’est ce que j’ai dansé’ de David-Alexandre Winter avec en background l’orchestre de Janko Nilovic puis une petite pépite disco funk avec les Heatwave et leur ‘Slip your disc to this’ et pour finir un véritable ovni musicale (voir la pochette) ou comment dans la France profonde JSR ce prenait pour JMJ (Jean Michel Jarre) sauf que la reconnaissance et la gloire ne son jamais arrivé peut être à cause du casque ? mais au fait qui ce cache derrière ce casque ? on le sera peut être bientôt. Alors bonne écoute avec du rythme, des basses, du fuzz mais aussi de l’amour et des violons ! le son est dans le post !
1 piccolo et saxo à music city (extrait) – andre popp
(from ‘piccolo et saxo à music city’ album, 70’s / philips)
2 la peur – nord gospel groupe
(from ‘emmaus’ 7 inch, 70’s / pai)
3 pourquoi pas ? – michel colombier
(from ‘wings’ album, 1971 / a&m)
4 strong dance - abrax
(from ‘abrax’ album, 70’s / look)
5 dog’s flea – jack dieval
(from ‘classic & ryhthm for dreaming’ album, 60’s / concert hall)
6 caravan – jet quartet
(from ‘caravan’ 7 inch, 60’s / polydor)
7 le cœur qui jazz – france gall
(from ‘poupé de cire poupé de son’ 7 inch, 60’s / philips)
8 je t’aime normal – jean et janet
(from ‘album 70’ album, 70’s / vogue)
9 docteur docteur – labi siffre
(from ‘docteur docteur’ 7 inch, 1976 / emi)
10 pas de problème - les charlots
(from ‘chauffe marcel…’ 7 inch, 1966 / vogue)
11 the dentist – the duke
from ‘vera petruschka’ 7 inch, 60’s / flash record)
12 my girl – Gerard chatelain
(from ‘my girl’ 7 inch, 1972 / rca)
13 how long can I go on fooling myself – jean elias
(from ‘blues’n’soul vol 5’ 7 inch, 1971 / vogue)
14 slip your disc to this – heatwave
(from ‘too hot to handle’ 7 inch, 1977 / cto)
15 astre – jsr
(from ‘jsr’ album, 1984 / jsr)