dimanche 17 mai 2009

Saison 3 – Episode 10


Pansement de jambe pour cacophonor
Bonjour agent leCurLing. Votre mission vous mènera au cosmos pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession de cet univers sphérique et pelé et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.
Bon dieu, que voulait bien dire ce galimatias, Price-Fisher était dubitatif, lady Béneloppe faisait une moue d’incompréhension totale, seul l’agent leCurLing savait de quoi il en retournait… Cosmos, Sphère, Pelé, on parlait ballon au pied…ou plutôt Soccer. On pouvait difficilement prendre l’agent leCurLing à défaut sur le sujet, lui qui collectionnait les titres et les blessures en poussant une boule de cuir sur des terrains ‘engorgés de bosses’. Mais quel rapport avec la musique, s’enquit lady Béneloppe… Hum, suivez cette aventure lady et vous allez voir combien ces deux mondes cohabitent à merveille.

Les deux hommes de la Zappant Irrémédiablement la Zone Ou joue Ulrich-stielike, la bien nommé ZIZOU, se tenaient droits comme un I dans le bureau du Directeur Ortofon. A l’arrivée de l’agent leCurLing, le directeur replia le dernier numéro de ‘football et tricot’, la référence en littérature footballistique et en petit drible crocheté, et présenta les deux hommes à l’agent : ‘le Capitaine Jean-Michel et le second classe Thierry, de la ZIZOU, enquêtent sur des phénomènes bizarres dans le milieu du ballon rond. Ils vont vous expliquer ces étranges phénomènes.’ ‘Bonjour agent leCurLing, je suis le second classe Thierry et nous enquêtons sur d’étranges phénomènes qui touchent le ballon rond, n’est ce pas capitaine Jean-Michel ?’ Et celui-ci de répondre ‘Tout à fait Thierry !’ ‘Mais notre enquête piétine, n’est ce pas capitaine ?’ ‘Tout à fait Thierry !’ ‘Des radasses tournent autour des joueurs qui sur blessure, se font remplacer par des morricos à la solde d’escrocs blanchissant de l’argent sale venant de Russie, n’est ce pas capitaine ?’ ‘Oh ! la ! la ! mon cher Thierry, ne nous avançons pas sur des terrains sablonneux, force est de reconnaître que le ballon rond à bien changé mais nous ne pouvons pas accuser à tort.’ ‘Oui mon cher Jean-Michel, mais on ne m’empêchera pas de penser que si on faisait des tests ADN pour empêcher le regroupement de footballeurs étrangers, nos clubs seraient mieux représentés sur la scène internationale, hum ! Le second classe Thierry n’y allait pas avec le dos de la cuillère, pensa l’agent leCurLing, dans ce sport populaire, le second classe Thierry faisait preuve d’un certain populisme.

Dans un premier temps, l’agent leCurLing pensa qu’il fallait retourner au fondamentaux, faire preuve de ‘taquetéquenique et taquetaquetique’, de ‘musseclaer son jeu’ en quelque sorte, mais cette mission ne pouvait se faire sans l’aide de la ZIZOU. D’ailleurs celle-ci avait pensé à tout, car le capitaine Jean-Michel présenta à notre vaillant agent la charmante Nade Hilla de la ZIZOU. La belle Nade Hilla était rentrée à la ZIZOU après un match de Paris, ou plutôt d’après Paris-Match, Nade Hilla s’était faite en… rôler sur un coup de tête par la ZIZOU lors d’une périlleuse mission Outre-Rhin. La délicieuse Nade Hilla présenta le programme de la mission à notre agent. Celui-ci allait mener notre héros de New-York à Amsterdam en passant par le Forez (pour vous dire si cette mission était foncièrement dangereuse).
Le Concorde posa son train d’atterrissage sur le sol américain, notre agent n’était pas en terrain inconnu même s’il ne jouait pas à domicile. La resplendissante Nade Hilla entraîna notre belle hidalgo d’agent sur les terres du Cosmos de New-York, franchise de la NASL North American Soccer League, fondée par les frères Ertegün, directeurs du Label Atlantic, et par Steve Ross, le président de Warner Bros. La première des grandes vedettes du football à être enrôlé chez les Cosmos fut le grand Pelé puis au cours des ans, il fut rejoint par Franz Beckenbauer, Giorgio Chinaglia, Carlos Alberto pour monter ce qui allait être la première équipe internationale. Le Club du Cosmos débuta en 1971 dans un pays où la pratique du foot reste marginale. Les débuts sont plutôt difficiles, le club changeant cinq fois de terrain avant de s’établir au Giants Stadium. Il est évident que l’arrivée de Pelé va booster le phénomène, les cosmos remportent 5 titres en 1972, 1977, 1978, 1980 et 1982, l’apogée du club se situe en 1977. Le stade est plein, les résultats sont là et même les VIP se passionnent pour ce sport, il n’est pas rare de voir les joueurs du Cosmos faire les belles heures du Club Disco ‘le Club 54’. Mais à partir de 1980 le déclin du foot aux Etats-Unis est amorcé.
L’agent leCurLing se demandait comment malgré tous les efforts consentis, le football que l’on appelle au States Soccer n’avait pu s’implanter. L’enquête menée par notre agent tendait à prouver que Cacophonor était là-dessous, lui qui savait si bien pervertir par son appât du gain les âmes les plus innocentes. L’agent leCurLing s’aperçut qu’une des collaboratrices de vil cacophélon avait corrompu ce bel univers qu’est le football, l’intrigante du nom de Mara Hati avait signé l’acte de mort du Soccer.

Forts de ces premiers renseignements, Nade Hilla et notre valeureux agent se rendirent à Amsterdam et c’est autour d’une tasse de coffee fumante que la gracieuse enfant débriefa notre agent : Amsterdam est la patrie de l’AJAX, les fondateurs du football total dont le plus célèbre joueur était Johan Cruijff, le ‘Numéro 14’. Sûr, il n’était pas qu’un numéro mais aussi un joueur libre né le 25 avril à Amsterdam et mesurant 1 metre 79 pour 68 kilos. Il débute sous les couleurs de l’Ajax en 1964, il remporte six titres de champion des Pays-Bas et trois coupes des clubs champions de 1971 à 1973, puis il mène la sélection hollandaise en finale de la coupe du monde 1974 avant d’échouer devant l’Allemagne de Franz Beckenbauer. A la fin de la saison 1973, Cruijff rejoint le club de Barcelone en pleine période franquiste. Cette signature est comme une première victoire pour le club catalan qui n’a plus remporté le championnat depuis 1960, mais sous l’impulsion de Cruijff, le Barça atomise le Real de Madrid 5 à 0 et remporte la liga en 1974. Johan Cruijff restera cinq saisons remportant un second titre et une coupe du roi.
Ceci étant dit, nos deux agents s’equipèrent pour rejoindre le Forez et plus particulièrement la ville de Saint-Etienne. Le football français n’a plus rien connu depuis le Stade de Reims dans les années cinquante, mais sous l’impulsion de trois dirigeants, l'ASSE va donner à la France un club prompt à atteindre les sommets, Roger Rocher le président, Pierre Garonnaire le recruteur et Robert Herbin l’entraîneur. Pourtant ce n’est pas ce piteux résultat obtenu en Yougoslavie où l’ASSE est balayé 4 à1 par l’Hadjuk Split qui peut faire naître des espoirs, mais au match retour, les verts inversèrent la tendance en gagnant 5à1. Le mythe était lancé et si la télé et le public avait délaissé ce match, la ferveur populaire allait naître. Cette année-là, Saint-Etienne allait finir sa route contre le grand Bayern en demi-finale, mais l’histoire est en marche. Lors de la campagne suivante et après un retournement de situation contre le Dynamo de Kiev dont seule la bande à Larqué avait le secret, l’ASSE retrouve le Bayern en finale de la coupe des champions, mais une sombre affaire de poteaux carrés brise les rêves verts. Ne reste de cette époque qu’une chanson mémorable et un nom de stade magique : ‘le chaudron’, car une fois de plus, l’argent allait tuer le phénomène.

Mais qui dit argent dit Cacophonor et sa collaboratrice Mara Hati. Oui, les deux vils personnages qui menaient le football à sa perte car avec tout l’argent que Mara donna, les instances du football marchaient sur la tête et on sait qu’au football, vaut mieux avoir les pieds sur le ballon. Mais heureusement, il est un monde footballistique que les infâmes cacophélons n’auront jamais. Et ce petit club de village gaulois n’est autre que le club de notre gaillard agent, soit les téméraires ‘USFormans’ qui contre vents et marées, terrain en gore et stade défraîchi, portent de vestiaire en vestiaire la bonne parole sous des douches trop chaudes ou trop froides, en ne ratant jamais l’occasion de se restaurer dans des troisièmes mi-temps orgiaques où l’on refait le match un ballon de rouge à la main.
Les vraies valeurs du football ainsi sauvées, le capitaine Jean-Michel et le second classe Thierry pensèrent qu’après avoir vu ça, on pouvait mourir ! Pendant ce temps, l’agent leCurLing partait seul au but feintant à droite puis à gauche avant de partir au centre et de glisser entre les jambes de Nade Hilla son… ballon, afin d’expliquer par l’exemple le geste technique du petit pont à la douce enfant.

En retard de livraison mais l'agent leCurling à retrouver ses camarades de promo de l'école d'agent spéciaux au service du groove alors spécial dédicace à Hugues les bons tuyaux et les bonnes adresses, Manu du canada et Jean « j'ai vingt ans » et pour ce faire on ecoute and i love des nighwalkers, astral planet d'influenza, bourvil et maillan dans le délirant ça (je t'aime moi non plus), golden screen par triangle, les pop concerto orchestra d'h'hervé roy dans o'kalendaret comme c'est fou : laurent perrier avec pop six cordes.
Et félicitation à Manu de la rochelle et sa douce pour l'heureux événement.

vendredi 1 mai 2009

Saison 3 – Episode 9


Tous les méchants mènent à Rome
Bonjour agent leCurLing. Votre mission vous mènera en Italie pour collecter le maximum d’indices afin d’empêcher l’infâme Cacophonor de prendre possession des compositeurs de musiques de film et d’imposer son cacophuneste projet d’endaubtrinement de la planète.
Pronto ! pronto ! si ! si ! ouna royalé, ouna quatré fromagie et ouna pépéronie, ma si dans oune ore, livraizone a domicilé, si ! gracié millé. Depuis que Price-Fisher avait monté sa petite entreprise : Pizza-Fissa, il ne connaît pas la crise et depuis l’annonce de la future mission de l’agent leCurLing, le brave Price s’était fait un devoir d’entraîner notre agent à grands coups de pizzas, calzone, bruschetta et crostini, mais il était grand temps de partir avant que l’agent double… de volume.

Le directeur Ortofon faisait tourner nerveusement sa cuillère dans son capuccino car les nouvelles qu’il avait de ses amis de la Fédération Italienne d’Aménagement du Tempo, la célèbre FIAT n’étaient pas bonnes. Les collègues italiens étaient confrontés à une disparition en masse du fleuron de la composition de bande originale de films, à commencer par le plus réputé d’entre eux, le célébrissime Ennio Morricone, le collaborateur de Sergio Leone né le 10 novembre 1928 à Rome. Celui-ci était parti sans laisser d’adresse et même si pour le retrouver elle avait délégué la FIAT, 500 de ses agents, l’élève de Goffredo Petrassi, le diplômé de l’Académie Santa Cecilia de Rome qui avait su rafler tous les prix de composition, d’instrumentation et de direction d’orchestre restait totalement introuvable. C’est pourquoi notre glorieuse B.S.T. avait été contactée par ses homologues italiens.
Le directeur Ortofon appuya sur un bouton et un écran plasma ultra plat descendit du plafond, puis le directeur Ortofon empoigna une télécommande infra rouge digitale et pianota. Déçu dans un premier temps, les images passèrent en accéléré puis au ralenti, avant de disparaître. Le directeur Ortofon grommela quelques noms d’oiseau à l’encontre de ce matériel ultra sophistiqué puis sortit un grand classeur qu’il ouvrit. ‘Bon mon cher leCurLing, je vais vous lire le topo sur la mission parce que la technologie, c’est bien mais la vieille école, c’est mieux, donc… ah oui voilà : Ennio Morricone se lance dans la musique de film en 1961, auteur pour Bernardo Bertolucci ou Marco Bellochio, il acquiert sa renommée avec ‘Pour une poignée de dollars’ de Sergio Leone. S’ensuit une flopée de classiques avec ‘Il était une fois dans l’ouest’, ‘Le bon, la brute et le truand’ ou ‘Chi mai’, son style fait de nervosité et de lyrisme se voit récompensé de plusieurs prix et de nombreuses nominations aux Oscars. Comme vous pouvez le voir agent leCurLing, la disparition de notre homme est une tragédie, alors vous allez passer un week-end à Rome tous les deux sans personne, car sur place vous attendra un agent de la FIAT.

L’agent leCurLing fut réveillé par le toquement à la porte de sa chambre d’hôtel, ce devait sûrement être l’agent de la FIAT qui arrivait avec les derniers éléments sur les disparitions. leCurLing se leva et ouvrit la porte, mais son étonnement fut grand lorsqu’il vit une sublime jeune femme aux cheveux de jais et à la peau brunie par le soleil romain : ‘bonjourno’ s’écria la belle ‘jé souis l’agente ‘Monica Uno’ dé la FIAT é jé souis là pour vous accompagné dans la missionne’. L’agent leCurLing fit renter la ravissante jeune femme dans la chambre, ‘j’ai dé élémente sur les otres disparou’ annonça l’agent de la FIAT, Uno. LeCurLing prit l’enveloppe que lui tendait la bella ragazza et en sortit un dossier. ‘Servez-vous donc un verre’ dit l’agent leCurLing, j’enfile un pantalon et me plonge dans votre prose. La renommée de l’agent avait dû traverser les Alpes car la ravissima Uno était restée tendue comme un élastique de culotte, avait-elle peur de succomber au charme de l’agent leCurLing ?
Notre bienveillant héros se mit à lire le rapport : trois des réputés compositeurs Italiens de musique de film nous avaient déjà quitté sans que l’on puisse attribuer ces décès à l’infâme cacophonor. En premier lieu, Nino Rota né le 3 décembre 1911 à Milan et décédé le 10 Avril à Rome, qui composa 170 musiques de films environ. Né dans une famille de musiciens, il étudie dès son enfance au conservatoire de Milan, en 1929 il intègre le Conservatoire de Rome alors que son premier Oratorio est déjà représenté à Milan et à Paris. Il part étudier à Philadelphie entre 1930 et 1932 sous la direction de Fritz Reiner. De retour à Milan il s’oriente vers l’enseignement de la musique et en 1979 il prend la direction de l’orchestre de Bari qu’il conserve jusqu’à sa mort. Nino Rota écrit pour le cinéma dès 1933, puis compose pour divers réalisateurs avant de travailler avec Federico Fellini en 1952 pour qui il compose les musiques de ‘la Strada’ et ‘La dolce vita’. Il est également le compositeur du ‘parrain’ de Francis Ford Coppola, du ‘Guépard’ et de ‘Rocco et ses frères’ de Luchino Visconti. Le second dossier était sur Piero Umiliani né à Florence en 1926 et décédé le 14 février 2001 à Rome, il compose un grand nombre de musiques de film dont celle d’un film érotique suédois ‘Svezia, inferno e paradiso’ dont le titre Mah nà mah nà fera le tour du monde. Et le dernier dossier se rapportait à Francesco De Masi n é le 11 janvier 1930 et mort le 6 novembre 2005 à Rome, qui commença à composer pour le cinéma en 1995 pour des policiers, des westerns spaghetti.

La sublima Monica Uno énuméra la liste des compositeurs qui s’étaient volatilisés dans l’espace : Alessandro Alessandroni, Pino Donaggio, Gianni Ferrio, Fiorenzo Carpi, Gianfranco Di Stefano, Armando Trovaioli, Stelvio Cipriani et les membres au complet des Goblin, ce groupe de rock progressif qui signa les musiques des films de Dario d’Argento, ainsi que la musique de ‘zombie’ de George Romero. Les éléments que possédait la FIAT étaient maigres, tout tournait autour de Rome, mais comment retrouver la trace de ces fameux compositeurs avant qu’un drame irrémédiable se produise.
L’agent leCurLing, qui connaissait bien l’infâme cacophonor, réfléchit au néfaste dessein que projetait le cacophélon. Le bruit avait couru qu’un film retraçant la carrière du météorique lofteur Aziz avait été tourné par ses soins, mais que la pauvreté du sujet en avait fait un véritable nanard que même les prises de karaté du néandertalien Aziz n’avait pu sauver d’un ridicule qui même s’il ne tue pas, entache somme toute le prestige du Cacophilmeur. Et il se disait que pour sauver son navet, Cacophonor avait projeté d’adjoindre à ce fiasco pelliculaire une bande-son phénoménale qui allait faire oublier les piètres talents de l’acteur et le grotesque de l’affaire. Voilà donc pourquoi les meilleurs compositeurs de B.O italiens étaient enlevés et disparaissaient. Si la cause était trouvée, la case demandait à l’être à son tour, oui car où localiser l’abject personnage ? Mais c’est bien sur ! à Cinecittà, le célèbre studio de cinéma de Rome né dans les années 30 où furent tournés ‘Ben-Hur’, ‘La dolce vita’ et ‘Amarcord’.
L’agent leCurLing et la Splendida Uno se rendirent en catimini au studio pour sectionner un câble électrique. Une fois la pénombre venue et les gens des services électriques contactés, l’agent leCurling et la splendida Uno se rendirent déguisés en électricien à Cinecittà et profitant du camouflage, visitèrent les lieux de fond en comble afin de trouver nos grands compositeurs retenus séquestrés par l’infâme cacophonor. Une fois localisés dans un studio d’enregistrement fermé à double tour, l’agent leCurLing délivra les artistes avant de mettre le feu à la pellicule de ce film, qui comme l’aurait dit Louis, ‘defuneste mémoire’.

La clairvoyance de l’agent leCurling avait une fois de plus sauvé les arts et nos compositeurs avaient ainsi pu reprendre leurs instruments, les quelques sbires de Cacophonor que la police arrêta furent remis à la FIAT qui les condamna, puis la FIAT pendit haut et court les cacophélons.
Le Directeur Ortofon buvait du limoncelo à l’écoute des félicitations de la FIAT, mais le liquide citronné faillit rester en travers de la gorge du Directeur quand son homologue demanda où étaient passés la mervillisima Uno et l’agent leCurLing. OUI, où étaient-ils ?
Monica souriait à notre agent leCurLing, elle qui avait tant essayé de repousser son attirance succombait au charme et n’opposait plus la moindre résistance pour vivre ce véritable moment de plaisir, et la main de la magnifica Uno porta à sa bouche gourmande l’énorme boule de… cette glace italienne avant qu’elle ne fonde, comme quoi se laisser aller avait du bon parfois.

une nouvelle version qui reprend ses bonnes habitudes avec Arabian disco de Slim, du Slm Pezin dans le texte,le Cat's Eyes de Life un de ces bons grooves gras, puis on se laisse enchanter par les Enchantment et leur Come on and ride, tous ce bon son diabolique ne serait rien sans Diabolic Man et son titre éponyme, suit le Temptation d'Anacronism
et la petite merveille mellow groove d'Hey policemen par Intrinsic Trance. Alors bonne écoute !