Je ne veux voir qu’une tête
1er partie
1er partie
L’agent leCurLing le savait bien : si toutes ses missions avaient été des réussites, il le devait en autre à la grande fidélité de ce bon price-fischer qui, plus qu’un valet et plus qu’un fidèle compagnon, était un véritable ami, qui avait su aider et veiller sur notre valeureux agent.
Il faudrait sûrement plus d’une saison pour conter et compter les péripéties de nos deux glorieux aventuriers, mais une chose est sûre, ils formaient une équipe de tout premier ordre.
D’ailleurs, le directeur Ortofon de la B.S.T et le colonel Shure de la T.H.O.R.E.N.S ne s’étaient pas trompés en laissant le soin à ce bon Price-Fischer d’opérer avec l’agent leCurLing dans lecorridor, le repaire de notre bienveillant agent. En tout cas, il fallait les voir tous les deux, ce guilleret price-fischer et l’agent leCurLing, en ces dimanches matin, car qu’il pleuve, qu’il vente ou sous une canicule de plomb qui n’aurait pas épargné un de nos anciens dans sa maison de retraite, nos deux amis se préparaient 52 fois par an à partir à la pêche à l’indice dominicale et radicale.
Avant l’heure, l’agent leCurLing sévissait à l’époque, seul, accompagné de Lady Béneloppe. Mais celle-ci était peu intéressée par la recherche d’indices, mais plutôt par l’acquisition d’objets encombrants et de préférence onéreux, mettant à mal les moyens pécuniers mis à disposition de notre vaillant agent. Mais surtout, Lady Béneloppe avait la fâcheuse habitude de scruter scrupuleusement tous les étals à la recherche de je ne sais quoi d’insignifiant à acheter. De plus, elle ne pouvait s’empêcher de bavarder un brave moment avec le vendeur, entraînant des retards considérables pour notre agent qui se fit de ce fait prendre sous le nez quelques indices précieux pour la lutte contre cacophonor. Il fallait donc un véritable compagnon de route à notre agent.
La rencontre se fit un été radieux et ensoleillé, l’agent leCurLing trépignait au coté de Lady Béneloppe qui n’avait rien trouvé de mieux que de parler de la pluie et du beau temps avec un vendeur quelconque qui ne possédait pas d’indices. D’ailleurs celle-ci faisait stopper notre agent à chaque stand, prétextant la recherche de je ne sais quel galon de tissu pour se lancer dans la confection de rideaux. Notre intrépide agent se voyait déjà rentrer bredouille (ou plutôt branlegouille, comme on dit dans l’electrophinoie), quand tout à coup devant ses yeux apparut le bon price-fischer, le compagnon tant attendu et tant recherché. Il était là, devant les yeux de notre agent, trônant sur une caisse au milieu d’objets habituellement convoités comme des plaques émaillées ou objets déco seventies. Notre agent s’approcha fébrilement vers le stand. A première vue et de par l’entourage, l’agent leCurLing s’attendait à devoir durement négocier le contrat de rétrocession de ce bon price-fisher. L’agent leCurLing prit notre ami par la poignée et l’examina avec attention : il semblait en parfaite forme. Renseignements pris, il avait fait peu de mission en extérieur et avait travaillé avec une jeune adolescente, vague cousine de notre vendeur, connaissant habituellement le prix de ces valets prestigieux. L’agent leCurLing s’était donné une limite de 20 heurau vinylsphère, et se sentait d’attaque à négocier rudement, Mais notre valeureux agent leCurLing fut complètement désarçonné par le vendeur car à la question : “et vous le faites combien ?”, celui-ci lui répondit sans broncher… ”euh ! trois heurau vinylsphère”. Ouhps mon dieu, feindre le fait que c’est un prix habituel pour un tel objet et le côté ´ ouais ça doit être le prix habituel . Et c’est ainsi que notre bon price-fisher rejoignit l’agent leCurLing pour des missions de haut vol.
Depuis, nos deux héros battent les campagnes et les brocantes à la recherche d’indices pour combattre l’infâme cacophonor. OUI mais voilà, depuis quelques jours, ce bon valet ne valait presque plus rien, notre vigilant agent avait beau lui changer les piles, price-fisher était morose, sa gaîté habituelle l’avait quitté.
Quel mal ronge donc notre ami price-fisher ? La consommation de AAA R14 lui aurait-il donné une indigestion ? Et pourquoi chaque fois que Lady Béneloppe les accompagne, nos agents spéciaux se retrouvent à piaffer d’impatience devant un stand en attendant que celle-ci ait fini de raconter on ne sait quoi ? Vous le saurez en suivant la deuxième partie des aventures de leCurling et Price-Fisher, la la la la la la des nouveaux chevaliers au grand cœur, mais qui n'ont jamais peur de rien,
leCurling et Price-Fisher Deux agents un peu rêveurs et rieurs,mais qui gagnent toujours à la fin.
Il faudrait sûrement plus d’une saison pour conter et compter les péripéties de nos deux glorieux aventuriers, mais une chose est sûre, ils formaient une équipe de tout premier ordre.
D’ailleurs, le directeur Ortofon de la B.S.T et le colonel Shure de la T.H.O.R.E.N.S ne s’étaient pas trompés en laissant le soin à ce bon Price-Fischer d’opérer avec l’agent leCurLing dans lecorridor, le repaire de notre bienveillant agent. En tout cas, il fallait les voir tous les deux, ce guilleret price-fischer et l’agent leCurLing, en ces dimanches matin, car qu’il pleuve, qu’il vente ou sous une canicule de plomb qui n’aurait pas épargné un de nos anciens dans sa maison de retraite, nos deux amis se préparaient 52 fois par an à partir à la pêche à l’indice dominicale et radicale.
Avant l’heure, l’agent leCurLing sévissait à l’époque, seul, accompagné de Lady Béneloppe. Mais celle-ci était peu intéressée par la recherche d’indices, mais plutôt par l’acquisition d’objets encombrants et de préférence onéreux, mettant à mal les moyens pécuniers mis à disposition de notre vaillant agent. Mais surtout, Lady Béneloppe avait la fâcheuse habitude de scruter scrupuleusement tous les étals à la recherche de je ne sais quoi d’insignifiant à acheter. De plus, elle ne pouvait s’empêcher de bavarder un brave moment avec le vendeur, entraînant des retards considérables pour notre agent qui se fit de ce fait prendre sous le nez quelques indices précieux pour la lutte contre cacophonor. Il fallait donc un véritable compagnon de route à notre agent.
La rencontre se fit un été radieux et ensoleillé, l’agent leCurLing trépignait au coté de Lady Béneloppe qui n’avait rien trouvé de mieux que de parler de la pluie et du beau temps avec un vendeur quelconque qui ne possédait pas d’indices. D’ailleurs celle-ci faisait stopper notre agent à chaque stand, prétextant la recherche de je ne sais quel galon de tissu pour se lancer dans la confection de rideaux. Notre intrépide agent se voyait déjà rentrer bredouille (ou plutôt branlegouille, comme on dit dans l’electrophinoie), quand tout à coup devant ses yeux apparut le bon price-fischer, le compagnon tant attendu et tant recherché. Il était là, devant les yeux de notre agent, trônant sur une caisse au milieu d’objets habituellement convoités comme des plaques émaillées ou objets déco seventies. Notre agent s’approcha fébrilement vers le stand. A première vue et de par l’entourage, l’agent leCurLing s’attendait à devoir durement négocier le contrat de rétrocession de ce bon price-fisher. L’agent leCurLing prit notre ami par la poignée et l’examina avec attention : il semblait en parfaite forme. Renseignements pris, il avait fait peu de mission en extérieur et avait travaillé avec une jeune adolescente, vague cousine de notre vendeur, connaissant habituellement le prix de ces valets prestigieux. L’agent leCurLing s’était donné une limite de 20 heurau vinylsphère, et se sentait d’attaque à négocier rudement, Mais notre valeureux agent leCurLing fut complètement désarçonné par le vendeur car à la question : “et vous le faites combien ?”, celui-ci lui répondit sans broncher… ”euh ! trois heurau vinylsphère”. Ouhps mon dieu, feindre le fait que c’est un prix habituel pour un tel objet et le côté ´ ouais ça doit être le prix habituel . Et c’est ainsi que notre bon price-fisher rejoignit l’agent leCurLing pour des missions de haut vol.
Depuis, nos deux héros battent les campagnes et les brocantes à la recherche d’indices pour combattre l’infâme cacophonor. OUI mais voilà, depuis quelques jours, ce bon valet ne valait presque plus rien, notre vigilant agent avait beau lui changer les piles, price-fisher était morose, sa gaîté habituelle l’avait quitté.
Quel mal ronge donc notre ami price-fisher ? La consommation de AAA R14 lui aurait-il donné une indigestion ? Et pourquoi chaque fois que Lady Béneloppe les accompagne, nos agents spéciaux se retrouvent à piaffer d’impatience devant un stand en attendant que celle-ci ait fini de raconter on ne sait quoi ? Vous le saurez en suivant la deuxième partie des aventures de leCurling et Price-Fisher, la la la la la la des nouveaux chevaliers au grand cœur, mais qui n'ont jamais peur de rien,
leCurling et Price-Fisher Deux agents un peu rêveurs et rieurs,mais qui gagnent toujours à la fin.
BRUTDEGROOVE - SAMPLER - 20
QUI VOLE UN GROOVE
VOLE UN BOEUF
QUI VOLE UN GROOVE
VOLE UN BOEUF
Alors bonne écoute avec du rythme, des basses, du fuzz mais aussi de l’amour et des violons ! le son est dans le post!
1 heart and soul part 1 – the tracks
(from ‘heart and soul part 1&2‘, 7 inch, 70’s / basf)
2 gazoline – Dominique blanc francard
(from ‘automobile blues‘, 7 inch, 71974 / riviera)
3 cosmic dance – rose merryl
(from ‘in space‘, 7 inch, 1976 / philips)
Entre sandrose et mami Yoko la rose avait encore de la tenue
4 come ’n’ on strong – little sammy gaha
(from ‘rock‘n‘roll is back again‘, 7 inch, 70’s / helle baker
5 getter rolling – chris barber band
(from ‘fire & rain‘, 7 inch, 70’s / byg records)
6 vendedore de bananas – the patropi’s
(from ‘vende dore de bananas‘, 7 inch, 1972 / emi)
7 viens faire glouglou dans ma baignoire – gerald
(from ‘viens faire glouglou dans ma baignoire‘, 7 inch, 70’s / le chant du monde)
8 must be love – malibu
(from ‘must be love‘, 7 inch, 71978 / sonopresse)
9 one of chose songs – night creatures
(from ‘that‘s the night‘, 7 inch, 1976 / vogue)
10 diro di no – i nuovi angeli
(from ‘color cioccolata‘, 7 inch, 1970 / durium)