dimanche 15 juin 2008

Saison 2 – Episode 12


Cacophonor trace des plans
sur la comète de Bill Haley

Voilà de nombreuses années que l’infâme cacophonor nous sortait des soldats de son château de lastarhak. Des soldats ? On devrait plutôt dirent des kamikazes, vu la rapidité avec laquelle ils disparaissaient, se jetant dans les foules de jeunes avec leurs bombes puantes, au cri de « banzaï, je suis la nouvelle ophélaï ». Ils avaient été plusieurs dressés, entraînés, programmés pour faire un coup rapide et dévastateur, une attaque éclair propageant à plusieurs milliers un cd de daube sur nos malheureuses têtes blondes avant de disparaître, broyés par la cacophuneste machine de leur créateur, j’ai nommé le vil cacophonor. Et c’est ainsi que l’on voyait pousser comme de la mauvaise herbe des cd de daube sur les étals de nos chères brocantes, où de jeunes pousses bourgeonneuses tentaient de revendre d’indescriptibles cd à d’autres jeunes bourgeonneux, qui tentaient de vendre les leurs… mais à qui ? en tout cas, si le crime ne paie pas, il engraisse bien les poches des cacophidèles de cacophonor : les tééfehun, les aimheussis, et autres andémaule.
En tout cas, même si un soldat de lastarhak ne durait pas plus longtemps qu’une feuille de rouleau de papier cul, et s’il finissait au même endroit que cette feuille, il semblait évident que cacophonor arrivait à sortir un nouveau papier cul… Euh soldat, à chaque fois. Quel était donc le secret de sa vile réussite ?

De la B.S.T. au THORENS, il n’y avait plus le moindre doute, la fabrication des soldats reposait sur un plan marketing des plus subtils, élaboré par cacophonor et ses administrateurs et en première ligne le lieutenant usivernal. Ces odieux personnages établissaient sur paper board à quoi allait ressembler le futur soldat vainqueur, ce qui sous-entendait une tricherie de leur part car le vainqueur était connu avant le départ de l’émission, et ce malgré le vote des téléspectateurs qui payaient des appels téléphoniques surtaxés pour voter, sans que l’on tienne compte de leur vote bien sûr. OUI, le soldat qui sortait premier de sa promotion starhakienne n’était pas choisi par le public mais imposé par l’infâme cacophonor.
C’est pourquoi la THORENS avait infiltré le château en envoyant un des leurs. Celui-ci se cachait sous la subtile couverture de “micro” et même si cette mission était dure pour ce vaillant ami de la liberté sonore, endurant les vociférations ainsi que les postillons des apprentis soldats en étant en première ligne, il menait vaillamment sa mission.

Dans les locaux tout neufs de la B.S.T., une réunion de la plus haute importance regroupait le directeur ortefon, le colonel shure et notre vaillant héros l’agent leCurLing. Miss monnaie punie (la secrétaire de la B.S.T.) prenait en sténo toutes les conversations de la plus haute importance, car il avait été décidé de mettre la main sur le plan marketing de cacophonor pour déjouer son vil complot en éliminant le vainqueur d’office. L’agent leCurLing devait se rendre au château de lastarhak afin d’accorder le piano (même si celui-ci l’était déjà, aucun des professeurs et des apprentis soldats ne faisait la différence entre piano accordé ou pas). Une fois dans la pièce, le combattant de la liberté sonore camouflé en micro devait indiquer l’emplacement du bureau de la cacophidèle assistante de cacophonor, l’agitée allaissia delarauchejoubaire. Là notre héros allait, grâce à la clé de douze traficotée par misterquiou, prendre en photo le plan market de la future starhak et connaître les critères de choix pour vendre à notre jeunesse la future daube.

Tout était là, devant les yeux ébahis du directeur ortofon, du colonel Shure et de bienveillant agent. Les photos prises par leCurLing dévoilaient que la finale se déroulerait sur le thème animalier, car 46% des jeunes de 12 à 17 ans, cœur de cible de la cacophatale émission, aimaient les animaux. Sachant que 72% d’entre eux rêvent de posséder un animal bien à eux, cacophonor et ses sbires avaient décidé de choisir comme thème d’attaque : LE BESTIAUX et pour se faire, allait se faire affronter en finale crissetofe, dit la tortue, contre missedauminik, dit le mammifère de cromagnon, et que le vainqueur serait la tordue… euh la tortue donc crisstetofe, enfin bon c’est du marketing !!!
Afin d’éliminer le soldat de cacophonor, notre vaillant héros remplaça le jardinier du château de lastarhak qui venait de tomber subrepticement malade ! et profitant d’une balade de la tortue dans le jardin, il l’attira avec une feuille de salade. Celui ci s’a p p r o c h a à la vitesse d’une tortue quand même (le plus dur pour notre vaillant héros étant de rester éveillé et de finir sa mission avant la nuit et le départ de l’arrosage automatique). Une fois à portée de main, notre agent prit le crissetof et le retourna sur le dos. Celui-ci, ne pouvant se remettre sur ses longues pattes, périt, réduisant à néant le vil projet de cacophonor.

BRUTDEGROOVE - SAMPLER – 12
UN GROOVE AVERTI
EN VAUT DEUX


Bon avec le sampler 12 on se lance dans le nu groove abstract hip hop avec de la french touch comme on dit avec La Yellow 357 et Cassius, des joueurs de platines avec dj Cam et dj Shadow puis de rap us avec les Beastie House of pain et Luniz un peu de Mowax de dj Morpheus, et vivement que le beau temps revienne qu’on puisse redigger en attendant le dernier sampler fait un pont entre France et usa, alors bonne écoute avec du rythme, des basses, du fuzz mais aussi de l’amour et des violons ! le son est dans le post !

1 quelle sensation bizarre – la yellow 357
(from ‘quelle sensation bizarre’ cd single, 1996 / yellow production)
2 cassius 1999 – cassius
(from ‘n°1 des clubs’ cd single, 1999 / hbf)
3 nike air gx – mo wax
(from ‘nike’ cd single, 1997 / mo wax)
4 midi jazz – rubin Steiner quartet
(from ‘black session’ cd single, 2002 / bmg)
5 effervescing experience – roudoudou
(from ‘tout l’univers listener’s digest’ cd single, 1999 / delabel)
6 hip hop opera – dj cam
(from ‘underground live act’ cd, 90’s / inflammable records)
7 the number song – dj shadow
(from ‘entroducing’ cd, 1996 / mo wax)
8 5 boros – non-phixion
(from ‘phax’n’phixion the nu hip hop underground’ cd, 1998 / ssr)
9 posse in effect – beastie boys
(from ‘licensed to ill’ cd, 1986 / def jam)
10 house and the rising sun – house of pain
(from ‘fine malt lyrics’ cd, 1992 / tommy boy)
11 I got five on it – luniz
from ‘operation stackola’ cd, 1995 / noo tribe records)

dimanche 1 juin 2008

Saison 2 – Episode 11


Quand cacophonor braque le broc,
qui craque, qui croc ?
2ème partie

Lors d’une excursions à la grandeville capitale de la vinylsphère et lieu de toute les tentations pour qui ne sait pas contrôler ces pulsions dépensière (personnes n’étant particulièrement visé par cette remarque à moins que certaine se sente concerné ?)… lors d’une excursion donc, notre héros laissant lady Béneloppe dépenser les heurau dans les nouvelboutics décide d’érai heureux au hazard afin de trouver un vendeur d’indices, et c’est à l’angle d’une sympathique petite rue que l’agent leCurLing huma l’odeur du vinyl, OUI à l’angle de cette rue un brocanteur vendais moult indices au milieu d’objet anciens et défraichis par le temps, mais voilà les indices vinylesques était cachés dans un recoins de la boutique, malgrés cela notre hardis héros pus acheté 3 indices et promis de revenir, entraînant l’insatisfaction déplaisant brocanteur qui s’empressa de fermer la boutique après la sortie de lagent leCurLing.
Curieuse attitude ce dit notre agent qui n’était pas au bout de ces peines, profitant d’une nouvelle excursion dans la grandeville afin que lady Béneloppe puisse trouver quelques choses à se mettre, puisque malgré 3 placards plein de vêtements celle-ci n’avait bien sure rien à se mettre, notre vaillant agent en profita pour rendre visite à l’échoppe de notre grincheux brocanteur.

Le carillon des cloches ce fit entendre lorsque notre intrépide agent ouvrit la porte, il lança à la cantonade ce si amicale bonjours qui comme la foie précédent ne reçu aucun n’écho, HUM rien n’avait vraiment changé RIEN foutaise et bilvesé alors que l’agent leCurLing c’était rendu directement à l’endroit ou était exposé les indices grands fut son étonnement de voir qu’il ne s’y trouvés plus ??????? faisant appel à son regard persant et son odora surdévellopé notre héros se mis en quète de trouver les indices, et au bout de quelques minute apperçus les caisses d’indices dissimulés dèrriere un imposant buffet, pourquoi le brocanteur avait il cherché à planquer les indices ? leCurLing trouvé l’attitude du vieu brocanteur des plus bizarre celui ne semblait pas très enclin à vendre ces indices comportement incroyable chez ce genre de personnes cherchant plutôt à faire rapidement tourner la marchandise.
Malgré ces agissements discourtois notre héros au péril de son dos se faufila pour dénicher quelques indices, deux pour être précis deux indices que notre vaillant héros revenus de l’enfer de la contorsion, acheta au brocanteur, dont le désenchantement ce faisait lourdement ressentir.
Une fois sortie notre héros se questionna sur l’attitude du brocanteur, il fallait découvrir pourquoi celui ci était si insatisfait de vendre des indices vinylesques à notre si vaillant héros ? l’agent leCurLing pris la décision de surveillé l’échoppe de l’antiquaire en choisissant pour ce faire un emplacement stratégique : lecafédukomerse, car là, depuis la banquette l’agent leCurLing pouvait surveiller l’entré de l’échoppe caché derrière la baie vitré, afin de ne pas se faire remarquer leCurLing passa commande, il lui sembla qu’un demi serai l’idéal pour ne pas se faire repérer, et les heures passère et dans l’intêret de cette mission et afin de ne pas éveillé les soupçons l’agent leCurLing commenda moult demis, c’est à l’attaque du neuvième que les événements se précipitèrent : un être patibulaire frappa violament à la porte de notre camelot, l’agent leCurLing malgrés la distance vit dans son regard l’angoisse ! le sinistre personnage qui venait de tambouriner à la porte se précipita vers les indices et ce reournant vers le brocanteur vociféré des phrases que malheureusement l’agent ne pouvait entendre. MAIS il ne faisait pas de doute ce sombre monsieur était à la solde de cacophonor et il ne cherchait qu’à empécher notre antiquaire de vendre ses indices à des amateurs éclairé tel l’agent LeCurLing.

L’agent leCurLing ayant récupéré lady béneloppe à la sortie d’une nouvelboutique l’envoya chez le brocanteur, et après lui avoir fait une descripton parfaite de l’emplacement des indices lui remis une liste de ceux à acheter, le brocanteur et le vil personnages mis en confiance par la vue de lady béneloppe ne purent jamais imaginer que celle-ci acheté des indices pour le compte de l’agent leCurLing, qui supervisé les opérations depuis son du qg du kafédukomerse un demi à la main pour resté camouflé en ce lieu. Hé oui Cacophonor l’agent leCurLing trouvera toujours des solutions pour te contrer.
Ayant acquis les meilleurs indices de cette échoppe l ‘agent leCurLing pris la sage décision de laisser en paix le brocanteur, qui, ne vendant plus d’indices ne fut plus embété par Cacophonor et ces cacophidèles mauvais personnages.


BRUTDEGROOVE - SAMPLER - 11
QUAND LE CHAT N’EST PAS LA
LES SOURIS GROOVES


Bon en ce moment je sais pas vous mes moi j’ai plus de temps pour quoi que ce soit surement la pluie qui ne cesse de tomber alors je me suis dit tien on va profiter du numéro onze et de l’actualité pour faire sa sélection des amis oui une série de titre pris sur le travail des amis pour leur rendre un hommage vibrant on connaît ma passion pour le ballon rond que je pratique (il n’y a pas de superlatif après c’est que je pratique tout court… oui court est bien le terme) du fait voilà ma sélection faite de joueur expérimentés comme J.C. Pierric, Number 6, Whoops, Double O soul, Manu, Licorice et de jeune pousse Paul Durango, Alex Twist and Shout de travailleur de l’ombre ces ‘jouôrs’ obscure si important pour une équipe les Calmos, Wesm, Supertony 31 ou Noreille et également de 2 pointes novatrice que son le doc bombay et le yéti et enfin d’un régulateur de jeu Mr Flash. Bon j’en ai bien sur oublié mais il n’y a pas d’exclus qui repartent en hélico promis je les placebt au mercato d’hiver. Alors bonne écoute avec du rythme, des basses, du fuzz mais aussi de l’amour et des violons ! le son est dans le post !

1 dreams– mike steiphenson
2 llight the road– bobby osborne
3 auxerre – michel legrand
4 le voyou (instrumental) – francis lai
5 cine qua pop – jean yanne & michel magne
6 dr music – the peppers
7 inside my brain– les maledictus sound
8 oglenon – lafayette afro rock
9 un soir chez norris – pierre cavalli
10 soul sensation – the heavens blues
11 starchild – cane and able
12 etude en forme de rythm and blues – paul mauriat
13 national 1647 – hubert
13 a travers montmartre – s. vlavianos

jeudi 15 mai 2008

Saison 2 – Episode 10


Quand cacophonor braque le broc,
qui craque, qui croc ?
1ère partie

On se rappelle que notre glorieux agent avait dû, suite à une indélicate blessure au genou contractée lors d’une mission, faire de nombreuses excursions à la grandeville. Lady Béneloppe avait, n’écoutant que son courage, accompagné notre héros, et on peut dire qu’elle avait pris goût aux balades dans la lumineuse capitale de la vinylsphère. HUM ! mais qu’est-ce qui pouvait bien attirer la merveilleuse lady Béneloppe en ce territoire de stupre et de lucre, si ce n’est les nouvelboutiques. OUI, toutes ces nouvelboutics qui proposaient de si belles choses à acheter. Ainsi lady béneloppe trouvait régulièrement des excuses pour se rendre à la grandeville, il va de soi que notre valeureux agent ne pouvait en aucun cas laisser lady Béneloppe sans défense dans ce territoire aux tentations Cacophénoménales. Il se devait donc à son tour, et n’écoutant que son courage, d’accompagner lady Béneloppe dans ses missions dilapidatrices.
Et c’est ainsi que régulièrement, notre héros accompagnait lady Béneloppe à la grandeville, au volant de sa bottine (le modèle tout cuir à fermeture éclair latérale il va de soi) après s’être restauré dans un de ces délicieux établissements à la carte variée et au prix malheureusement invarié entre le passage du franc à l’Heurau vinylsphèrien (sachant qu’un Heurau vinylsphèrien fait bien 6,55957 fois un franc, soit 6,55957 fois plus d’indigestion lors de la note). Mais notre valeureux agent sentait bien dans le regard de lady Béneloppe le bonheur d’avoir vécu un si beau moment gastronomique (de plus si l’établissement en question était peoplement fréquenté, la satisfaction de lady Béneloppe n’en était que plus grande).

Une fois le repas achevé et le secteur sécurisé, notre héros laissait quartier libre à lady béneloppe, car l’agent leCurLing avait bien-entendu mieux à faire que de visiter ces nouvelboutiques. Même si leCurLing était homme de goût pour conseiller au mieux lady Béneloppe, celui-ci ne goûtait guère les heures passées devant les cabines d’essayage, entouré d’ingrats et bruyants rejetons qui accompagnaient leur mère, ainsi que de vendeuses aux voix aigües éructant le fait que cet ensemble allait à merveille. OUI, notre agent avait de la “bravitude”, mais fallait pas trop lui en demander. Alors que faire, on sait que notre gaillard agent sait être raisonnable et ne point dépenser inutilement les heurau vinylsphèrien durement acquis en futilités et fadaises. Evitant pour se faire les phenaque et autres virejinnemaigastaure, notre héros flânait dans les rues de la grandeville, et c’est au hasard d’une rue que l’agent leCurLing, dont le flair en matière de vinyle ne trompe jamais, découvrit une petite échoppe de brocante, sniff, sniff, ça sentait le vinyl dans cette boutique. Notre héros poussa la lourde porte qui, heurtant quelques grelots, signala son entrée. Bonjour ! clama amicalement l’agent leCurLing, mais aucune réponse de la part du taciturne brocanteur. Qu’à cela ne tienne, se dit notre valeureux agent s’avançant dans l’officine peu éclairée. Il y avait de nombreux livres anciens, des jouets d’un autre temps et des meubles marquetés qui avaient dû connaître de nombreuses révolutions. L’agent leCurLing découvrit derrière un cheval en bois de manège forain un nombre impressionnant de caisses d’indices vinyliques. Notre héros se pencha sur le sujet et là, sous ses doigts, des merveilles d’indices tant recherchés. L’agent leCurLing choisi 3 indices et demanda le prix au désobligeant brocanteur qui, d’une voix inamicale, répondit “quoi les trois là, bof, 5 heurau”. “très bien” se dit notre intrépide agent s’acquittant du prix, “je reviendrai vous voir, vous avez de belles pièces” se permit l’agent leCurLing, mais le brocanteur grommela une vague réponse.

Pourquoi le brocanteur n’est pas ravi de vendre des disques ? Pourquoi ce regard inquiet quand l’agent leCurLing lui annonce qu’il reviendra ? Pourquoi ferme t’il son échoppe dès le départ de notre héros ? et la bonne affaire de notre agent équilibrera t’elle les effroyables dépenses de lady Béneloppe ? Vous le saurez en suivant la 2ème partie des aventures de notre vaillant agent dans Quand cacophonor braque le broc, qui craque, qui croc ? 2ème partie.


BRUTDEGROOVE - SAMPLER - 10
TOUT CE QUI BRILLE
N’EST PAS GROOVE


Voila le sampler dix et la je cède à la tentation cd, donc voilà la livraison d’un sampler de library numérique à fond les ballons du funky beat du soulful du gangsta et du lounge tout comme les maîtres du genre ce qui nous fond tellement réver alors voilà la relève des benzema des nasri et des ben arfa du groove digne héritiés de nos grand zizou libraryesque nilovic umiliani voir notre grand jean claude pierric, Alors bonne écoute avec du rythme, des basses, du fuzz mais aussi de l’amour et des violons ! le son est dans le post !

1 wonderfunk– j.price-m.campbell
(from ‘sounds from the chill’ cd, 2001 / digital vision)
2 fat man comin’ – a.p. hines-w.lL hines
(from ‘mister groove’ cd, 00’s / opus)
3 stewin’ – s. Goodman-d. stein
(from ‘dial-a_groove’ cd, 2004 / music box)
4 orbit – g. herzenach-a. wolovitch
(from ‘new world’ cd, 2001 / music box)
5 let’s play – c. Kelly-l.bailey-b. sargent
(from ‘electrolounge’ cd, 2003 / music box)
6 the strip – s. Goodman-d. stein
(from ‘pop tracks’ cd, 2002 / music box)
7 party time – j. sweet
(from ‘bling bling’ cd, 00’s / opus)
8 the player – g. herzenach-a. wolovitch
(from ‘dj groove’ cd, 2002 / music box)
9 funky chic – i. livingstone-d. jones
(from ‘short themes jingles & stings’ cd, 00’s / mediatracks)
10 coffee and cops – deep sounds
(from ‘tv themes’ cd, 2003 / digital vision)
11 gangsta boogie – l. aberman
from ‘the bomb cd, 2002 / music box)
12 para – j. kuhn-d. humair-j.f. jenny-clark
(from ‘the world of drums & percussion’ cd, 1994 / cmp records)
13 nova lounge – d. rosengard
(from ‘stereophonic martini’ cd, 2001 / music box)

jeudi 1 mai 2008

Saison 2 – Episode 9


La fermeture éclair du Cacophélon
2ème partie

Ayant accepté d’accompagner lady Béneloppe pour l’une de ses missions onéreusement dangereuses, l’agent leCurling en a profité pour localiser la sainte demeure d’aimeahusse, du pays des petits hommes verts qui courent dans un chaudron, afin de ramener des indices nouveaux dans son repaire lecorridor.
Le voyage se préparait avec application. L’agent leCurLing avait fait les niveaux et vérifié les pneumatiques de la “naïquerre” (le modèle “mikaellejordanien” il va de soi), alors que lady béneloppe avait comme à son habitude enregistré l’intégralité du catalogue (arme secrète de cette agente qui arrive à mémoriser un nombre effroyable d’objets à acheter, sans pour autant évaluer la valeur pécuniaire de ceux-ci, formant un trou dans son bouclier et son “contanbenk”).
Mais ce qui mettait la puce à l’oreille de notre intrépide agent, c’est que cacophonor ne se manifestait pas encore. Oui, toutes les préparations se faisaient sans anicroches, aucun cacophlibustier tentait de mettre à néant cette double mission, et même “l’airetété” de notre agent avait été acceptée par la cacophéniasse chef du buro (couverture de notre agent qui travaille dans une cacophonique entreprise avec de cacophlébards petits chefs). OUI tout se passait trop bien !

Enfin arriva le jour J, lady Béneloppe et notre agent attachèrent leurs lacets, baissèrent la languette et ajustèrent leurs chaussettes afin de faire un agréable voyage. L’agent leCurLing conduisait avec souplesse sur la voie rapide et lady Béneloppe profitait du paysage quand, à l’embranchement des voies A et B, ils aperçurent un “panopublicitère” de la nouvelboutic de décoration. SAUF !!! que celui-ci indiquait de passer par la voie B et non la voie A comme étudié sur le plan. D’abord dubitatif, l’agent leCurLing s’en remettait à cette indication, ne connaissant pas ces contrées hostiles, imaginant une route plus directe qu’il n’aurait pas décelée sur le plan.
Engagé sur cette voie sans issue, l’agent leCurLing dut manœuvrer habilement pour retrouver son chemin. De par un sens de l’orientation fort développé chez notre vaillant agent et une intuition qui a fait de lui un des meilleurs enquêteurs de la vinylsphère, l’agent leCurLing sut remettre le petit équipage en selle et trouva la nouvelboutic. Il ne faisait aucun doute que cette cacophuneste indication était l’œuvre de cacophonor. Mais quel était son dessein, puisque l’infâme n’avait point tendu de piège à notre héros perdu, lui laissant le soin de retrouver sa route et d’accompagner lady béneloppe à bon port. L’agent leCurling trouvait cela bizarre, mais se tut afin de ne pas inquiéter l’innocente lady Béneloppe.

Lady béneloppe s’en donnait à cœur joie, cet étalage “d’aubjaidedaico” la rendait radieuse. Elle garnissait sa petite besace de couleur bordeaux d’une multitude d’objets indescriptibles. Et ce que l’agent prenait pour une assiette se trouvait être un miroir, et ce qui fut pris pour une carafe n’était en fait qu’une étonnante lampe de chevet ! un peu comme si le créatif designer et le marketeur vendeur avaient inversé les objets à leur corps défendant (l’agent connaissait bien ce problème avec sa couverture, il côtoyait tout les jours des pontes du marketing, aussi à l’aise avec un couteau qu’un gallinacé !!!). MAIS bon, tout allait bien si ce n’est ce temps perdu à suivre une mauvaise route.
Une fois les deux étages de l’établissement étudiés de fond en comble par lady béneloppe et l’acquittement par l’agent leCurling des achats, notre héros allait pouvoir enfin passer à l’action et, faisant crisser la semelle de la naïquerre, prit la direction de l’aimeahusse. Il se faisait déjà dans les 16h40 quand notre agent, accompagné de lady Béneloppe, arriva à la porte de la sainte demeure, le panneau affichait : “OUVERTURE DE 14H À 17H30”, soit un peu mois d’une heure pour trouver des indices. L’agent leCurLing se dirigea directement au stand des indices et entreprit l’évaluation des bacs à indices. L’agent leCurLing n’en était qu’au début de ses peines quand le tintamarre d’une cloche se fit ressentir. « Qu’est-ce donc ? » se dit l’agent ? La bénévole personne aux indices signala courtoisement que l’on fermait. MAIS comment donc, il n’était que 17h04, pourquoi ce cacophage dénouement. Tout s’expliquait : la mauvaise route qui avait fait perdre un temps précieux à notre héros, soit une heure de retard sur le programme qui mettait à mal notre vaillant agent. L’agent leCurLing avait déjà en main des indices, il ne lui restait plus beaucoup de bacs à indices à visionner, mais le risque était présent ! car l’agent leCurLing risquait de trouver les caisses fermées et ne pas pouvoir repartir avec les indices. Lady Béneloppe avait rejoint notre héros lui signalant que les caisses allaient fermer. La tension montait d’un cran, le compte à rebours allait commencer, et là, l’agent leCurLing eut l’éclat de génie. Il empoigna un lot d’assiettes à motif vichy (indices fort recherchés dans les missions de lady Béneloppe), lui tendit un billet et l’envoya régler cette course. Il va se soi que lady Béneloppe ne sait pas résister à ces indices et également à acheter, mais l’élément sur lequel l’agent leCurLing se reposait, c’était que lady Béneloppe était avant tout une fieffée bavarde et qu’elle allait tenir le crachoir à la caisse le temps pour notre héros de finir sa récolte et de rejoindre la caisse d’un pas léger mais non moins sportif.
Vaincu une fois de plus cacophonor et tes indications bidons, et aucun radarkozy n’avait réussi à flasher notre héros. Victoire sur toute la ligne.


BRUTDEGROOVE – SAMPLER – 9
GROOVE AFFAME
N’A POINT D’OREILLE


Nouvellement arrivé le sampler 9 et la on fait du neuf avec du vieux car comme me daisait DJ Home Letts on fait pas de compil sans casser des œuf alors pour vous un best œuf de la saison 1 avec du funky groovy jerky twisty itsy pity bikiny et comme dit le proverbe en mai joue ce qui te plais. Alors bonne écoute avec du rythme, des basses, du fuzz mais aussi de l’amour et des violons ! le son est dans le post !

1 west coast drive– v.i.p. connection
(from ‘please love again’ 7 inch, 1975 / sirocco)
2 i’ve got the sun under my skin – the sunpower’s
(from ‘i’ve got the sun under my skin’ 7 inch, 70’s / vanaos)
3 prohibition – french disco take one
(from ‘e vero amore’ 7 inch 1978 / festival)
4 speedy n°1 – andré brasseur
(from ‘speedy n°1’ 7 inch, 1972 / rca)
5 full speed – claude bolling
(from ‘qui’ 7 inch, 70’s / disques az)
6 travelling on rythms – bud hunga and his combo
(from ‘traveling on rythms’ 7 inch, 70’s / disques az)
7 hou la la – patrick topaloff
(from ‘qui m’enerv’ 7 inch, 70’s / fleche)
8 double piet, peen and willy – amsterdam
(from ‘lucy lucy’ 7 inch, 70s / disques az)
9 please – triangle
(from ‘listen people 7 inch, 70’s / pathe marconi)
10 le monde éclate – dynastie crisis
(from ‘jesahel’’ 7 inch, 1972 / pathe marconi)
11 kara kara – fooka mainty band
(from ‘kara kara’ 7 inch, 70’s / aquarius)
12 safari – safari and c°
(from ‘safari’ 7 inch, 1976 / polydor)
13 safari love – resonance
(from ‘safari love’ 7 inch, 1974 / sirocco)
14 watucada – the invanders
(from ‘calendar song’ 7 inch, 1977 / sonopresse)
15 twist riff – james ward
(from ‘le petit gonzales’ 7 inch, 60’s / panorama)
16 malibu surf – geo daly
(from ‘succes’ 7 inch, 60’s / galas des variérés)

samedi 12 avril 2008

Saison 2 – Episode 8


La fermeture éclair du Cacophélon
1er partie

Devant l’insistance de lady Béneloppe, l’agent leCurLing avait accepté dans sa grande mansuétude de l’accompagner, de la conduire devrait-on plutôt dire, à la grande ville voisine de la grande ville de la vinylsphère, la grande ville des petits hommes verts qui tapent dans un ballon dans un chaudron bouillant. Grande ville distante d’une centaine de kilomètres et d’une vingtaine de radarkosy d’Electroland. L’agent leCurLing avait écouté avec bienveillance
les explications incongrues de lady Béneloppe sur les raisons nébuleuses de cette mission si importante à ses yeux : la visite d’une espèce de menuisier suédois, mais qui ne pratiquait pas la menuiserie mais la décoration, mais pas comme les boutiques, « volant » plus entre la décoration et la menuiserie, une sorte de « déconnerie ». Si l’intrépide agent leCurLing avait bien saisi, une chose était sûre, elle n’allait pas faire le voyage pour rien car une de ses indics amies lui avait vanté moult objets à ACHETER ( premier mot du dictionnaire ladybéneloppien, et également le dernier).
Mais homme d’honneur l’agent leCurling s’était engagé a accompagné lady Béneloppe et celui-ci se devait de préparer cette mission, car à ses yeux il était impossible de se lancer dans l’aventure sans avoir au préalable étudié tout les risques, les possibilités, les stratagèmes.

Et pour préparer au mieux cette nouvelle mission, notre valeureux agent commença une enquête pointue, armé du nom de cette “nouvelboutic”, il se plongea dans les entrailles du fournisseur d’accès “aurenge”. Tenant d’une main assurée la souris du “paicé”, il pointa le “kurceur” sur la ligne surbrillante “laipagejone”. Cliquant avec application, il vit apparaître une fenêtre lui demandant de multiples indications. Sans se démonter, notre vaillant agent déjoua les pièges tendus, trouvant la solution à l’énigme :
ACTIVITÉ
NOM
ADRESSE
LOCALITÉ
DÉPARTEMENT OU RÉGION
Grâce à sa grande culture et son incroyable perspicacité, l’agent leCurLing obtint l’adresse de cette “nouvelboutic” et c’est cacophuribard que “l’aurdinateur” dut se rendre à l’évidence : leCurLing était trop fort pour lui, mais même si notre intrépide agent avait trouvé l’adresse, il lui fallait maintenant le plan d’accès secret pour se rendre sur les lieux. Mais l’agent leCurLing sut lire entre les lignes et résoudre l’énigme, le plan s’afficha sur “laicren” de “l’aurdinateur”, et c’est toujours d’une main agile que leCurLing cliqua sur “ainprimente”,
sélectionna “aipsonne”, lançant par la même occasion les têtes de buse qui allaient reproduire sur papier le plan secret.

Mais l’agent leCurLing n’en avait pas fini avec “l’aurdinateur”. Revenant par un subtil stratagème sur les fameuses “pagejone”, l’intrépide agent leCurLing allait tenter de découvrir l’adresse de la sainte demeure locale : l’aimeahusse du pays des petits hommes verts qui jouent au ballon au pied. Face aux questions insidieuses des “pagejone”, leCurLing sut encore une fois déjouer les pièges, obtenant une fois de plus l’adresse secrète et le plan du saint lieu que notre héros s’empressa “d’ainprimai”. LeCurLing allait pouvoir combiner la mission de lady Béneloppe avec une nouvelle mission de notre agent.
Car OUI !!! l’agent leCurLing avait décidé de profiter de ce voyage pour une nouvelle mission de pêche à l’indice en cette nouvelle contrée inconnue et hostile pour notre vaillant agent. Mais cette mission à hauts risques allait sûrement permettre à notre agent de découvrir de nouveau indices et de les ramener au corridor, le repaire du bienveillant agent leCurLing.

Armé de ses feuilles de route et de ses plans d’attaque, l’agent leCurLing va profiter d’accompagner lady Béneloppe dans une de ses dilapideuses missions pour chercher des indices vinylesques à ramener dans son repaire “lecorridor”.
Alors suivait cet incroyable voyage au pays des petits hommes verts au ballon, dans la seconde partie de fermeture éclair du cacophélon.

BRUTDEGROOVE – SAMPLER – 8
VINGT FOIS SUR LE METIER
REMETTEZ VOTRE GROOVE


Une c’huit’e chez les jesi’huit’e après une f’huit’e d’inou’huit’e
M’empêche de vous commenter le sampler huit de s’huit’e dommage on se rattrapera ens’hui’te mais des fois c’est sympa une compile réd’hui’te !!! Alors bonne écoute avec du rythme, des basses, du fuzz mais aussi de l’amour et des violons ! le son est dans le post !


1 tarzan seigneur de la jungle – gérard calvi – françois rauber
(from ‘tarzan seigneur de la jungle volume 5’ album, 70’s / pathé marconi)
2 sebar – les frères mégri
(from ‘mahmoud hassan younès’ album, 1974 / philips)
3 wild flowers – les mogols
(from ‘danses et rythmes de la turquie d’hier et d’aujourd’hui’ album 70's / concert hall)
4 ana, ana – maghreb
(from ‘ana, ana’ 7 inch, 1981 / artsound)
5 mr super hip – jamey aebersold
(from ‘nothin’ but blues’ album, 1912 / ja records)
6 suspense – anarchic system
(from ‘anarchic system’ album, 70’s / az)
7 je me suis coupé la main – erick vincent
(from ‘je ma suis coupé la main’ 7 inch, 70’s / donali records)
8 tapis magique – marc hamilton
(from ‘comme j’ai toujours envie d’aimer’ 7 inch, 70s / carrere)
9 plus d’amis – les sunlights
(from ‘le deserteur’ 7 inch, 60’s / az)
10 histoire d’un pecheur – terpandre
(from ‘terpandre’ album, 1980 / dionysos)
11 l’ile de paques – guy skornik
(from ‘le pop français vol. 1’ album, 70’s / mfp)
12 summertime – jean bonal
(from ‘music for dreaming’ album, 60’s / concert hall)

mardi 1 avril 2008

Saison 2 – Episode 7


L’agent n’a pas d’odeurs

Tout ! Oui ! tout semblait paisible dans la vinylsphère, bien trop paisible pour être honnête. Lady Béneloppe devenait raisonnable avec ses dépenses, les nainblonds avaient cessé d’être capricieux, même l’animaldomestique faisait ses crottes au bon endroit, pour vous dire comme c’était paisible. De ce fait, l’agent leCurLing s’était mis au vert, rangeant et classant les indices dans lecorridor, conversant avec le directeur ortofon à la B.S.T. à l’heure de l’apéro anisé et des olives noires. OH OUI ! que la vie était douce dans la vinylsphère, de plus le cableur télévisé : aqueduc + proposait un programme qui convenait tout aussi bien à lady béneloppe qu’à notre valeureux agent en rediffusant pour la énième fois les aventures d’un galurin anglophone et d’une paire de chaussures montantes. Et c’est ainsi, armé d’un plateau repas à base de crudités et de tranches de rôti froid, que lady Béneloppe et notre héros savourèrent le programme, racontant une aventure des plus délirantes d’agent secret, qui fit beaucoup rire notre bienveillant agent qui ne se reconnut point dans le traitement fait de la vie d’agents spéciaux au service du bien (la mission de l’agent leCurLing étant sérieuse, elle). Mais il fallait reconnaître à ces auteurs une certaine imagination, et c’est ainsi que, le sourire aux lèvres, notre agent monta se coucher.
L’agent leCurLing dormait depuis peu que le téléphone vermillon de la ligne secrète de notre agent retentit. A l’autre bout du fil, le directeur ortofon était dans tous ses états, passant la brosse en fibre de carbone sur sa tête de lecture pour essuyer la sueur froide qui coulait le long de son bras de lecture mécanique, le directeur ortofon incita l’agent leCurLing à le rejoindre dans le locaux de la B.S.T., car, comme il le laissait entendre, “l’heure est grave mon cher leCurLing”. Mais que pouvait-il bien se passer pour que notre directeur ortofon, si raisonné habituellement, se mette dans tous ses états ?

L’agent leCurLing sauta promptement de son lit, enfila le premier vêtement qui lui vint sous la main, un smoking deauville constitué d'un veston droit à revers de soie, d'un gilet et d'un pantalon à galon de soie sur les côtés, et se rendit au volant de ses weston Richelieu (le modèle sur mesure à bout droit, il va de soi) au rendez-vous donné par le directeur ortefon, dans les locaux de la B.S.T. !
Là, le directeur ortefon l’attendait pour lui expliquer le situation. Notre intrépide agent s’assit au bout de la table de réunion, le directeur ortefon fit un signe en direction du projectionniste et les images commencèrent à défiler sur l’écran géant de la salle de réunion. Des images effroyables où l’on voyait les agents technics SL 1200, numark X2, vestax QFO LE et stanton série T, tués froidement par la main invisible du mal, la main cacophélonne du malin. OUI, on avait sournoisement attaqué certains de nos agents pour les faire périr ! MAIS QUI ?
Le directeur ortefon donna à notre agent le nom d’un indic, un ancien de la maison, un petit agent sans envergure mais précieux quand rien ne va : l’ex-agent mange disque. Notre héros se rendit chez lui pour obtenir quelques informations, il semblait d’après mange disque qu’il serait bon d’aller faire un tour au makoumeba, un club regroupant tous les week-ends des milliers de cacophidèles, un temple de la débauche cacophonique.
Il va de soi que notre agent se rendit sur les lieux, l’établissement était comme l’avait décrit mange disque : des plus vulgaires et des plus ordinaires, un long bar, des pistes de danse géantes, des enceintes surdimensionnées et une cabine de didji surélevée.

Notre héros se présenta devant l’établissement. Là, de cacophisionomistes repoussaient les groupes de jeunes adultes éthyliquement excités par un “je crois que ça va pas être possible” ou d’un nom moins catégorique “c’est une soirée privée, avez-vous la carte du Club ?”. De carte, il n’en existait pas bien sûr, les cerbères utilisaient ce bas stratagème pour sélectionner les convives, et il va de soi que notre vaillant héros, grâce à sa classe légendaire, put pénétrer dans l’établissement sans difficulté. Là, des cohortes de jeunes se trémoussaient, l’agent leCurling trouva aisément un place au bar et commanda un nitroglycérine, un cocktail à base d’alcool à 90 dans lequel flottent mollement deux grains de poivre, un alcool d’homme comme les aime l’agent. La nuit avançait quand l’agent leCurLing fut accosté par une céphalopode danseuse “Salut beau ténébreux, tu m’offres un verre”. Sur ce, notre intrépide agent commanda à l’échancrée serveuse deux nitro, et engagea la conversation avec cette octopodidae. Malgré le bruit assourdissant des baffles, la conversation allait bon train ainsi que les verres de nitro qui se descendaient à vive allure. La discussion avait pris une tournure des plus intimes et la diablesse à coiffure de poulpe invita notre vaillant héros à sortir pour aller faire un tour à l’arrière de son véhicule. Mais une fois installés, missmiafraille sortit du bois en éructant AH ! AH ! AH ! leCurLing, tu vas y passer comme les autres agents. C’était donc bien la polypos assistante de cacophonor qui avait décimé nos valeureux agents. Désarmé, notre vaillant agent ne pouvait se défendre, mais au moment de trucider notre valeureux agent, missmiafraille fut prise de vomissements dus à une trop forte absorption de nitro. Hé oui missmiafraille, quand on ne supporte pas l’alcool on ne boit pas. Ainsi mise hors d’état et hors d’état de nuire, la disgracieuse missmiafraille ne put plus s’attaquer à nos valeureux agents.

BRUTDEGROOVE – SAMPLER – 7
TOUT VIENT A POINT
A QUI SAIT GROOVER


Sampler numéro 7 alors voila l’age de raison pour notre série de sampler et pour ce numéro 7 quoi de mieux qu’une série de 7 inch, voui un brave sampler nourri aux 45 tours alors sans plus attendre on se désaltère de Gini par The Green Magic’s un groovy rythme des plus tonique, nous voilà près pour affronter The fin du monde par Soundforce un electro funk punk aux paroles délirantes digne d’une annonce du chaos par Orson Welles, superbe breakbeat de drums pour ce titre de John Musy (Jean Musy le sublime interprète de Ray Charles pour Concert Hall), Rock Steady co-signé par Joe Dassin, pour une danse que lança Regine (je vous épargne les pas de danse qui repose surtout sur un jeu de pouce) ensuite déboulée de guitare fuzz avec les Tritons et leur Drifter, du rock seventies psyché (et une intro qui inspira bien le générique des enfants de la télé), puis on reprend des couleurs avec ce titre aux accents west-indies par La Soka : ba moi la soka du soleil en voici en voilà pour le printemps qui arrive et qui pour l’instant ne brille pas on débute avec Antique et ce Chaucha au guitare chatoyante (l’esprit de Carlos Santana n’est pas loin) soleil toujours avec la salsa d’Henri Guedon qui copine avec la bande à Fania dans ce splendide Faut pas pousser, avec la salsa quoi de mieux que le Cha cha cha avec le titre éponyme de Sonny Burket l’on continu notre tour des plages avec Jan Marnia et sa guitare hawaïne pour ce féerique La playa puis départ pour les indes, le sitar et les tablas de Claude Fonfèdre dans En écoutant ravi shankar, puis un peu de réflection métaphysique inspiré par l’orchestre de tuperware (les musiciens studios raymond guiot, jean schultess …) pour un hippy groove à la flûte baladeuse, on continu avec le prog rock de Tribu , Love is all spacey et hippy à plaisir, bon maintenant on atterri ce Dimanche à orly avec comme commandant de bord Gilbert Becaud dans un titre jazzy ou l’orgue nous régale, et on fini comme au cinéma avec les b.o. de Le tueur d’Hubert Giraud et Poursuite a Anvers de François de Roubaix un mellow groove et un speedé jerk qui nous montre combien la musique de film possède comme grands compositeur. Alors bonne écoute avec du rythme, des basses, du fuzz mais aussi de l’amour et des violons ! le son est dans le post !


1 gini – the green magic’s
(from ‘gini’ 7 inch, 70’s, disques barbade)
2 the fin du monde – soundforce
(from ‘the fin du monde’ 7 inch, 1980, rca)
3 rock steady – john musy
(from ‘dansez le rock steady’ 7 inch, 70’s, cbs)
4 drifter – titrons
(from ‘I can’t get no satisfaction’ 7 inch, 1973, barclay)
5 ba moi la soka – la soka
(from ‘la soka’ 7 inch, 1982, disc’ az)
6 chaucha – antique
(from ‘last tango in paris’ 7 inch, 1973, polydor)
7 faut pas pousser – henri guedon
(from ‘salsa dans le bronx’ 7 inch, 1980, rca)
8 cha cha cha – sonny burke et son orchestre
(from ‘cha cha cha’ 7 inch, 50’s, c.i.d.)
9 la playa – jan marnia
(from ‘maria elena’ 7 inch, 60’s, festival)
10 en ecoutant ravi shankar – claude fonfrede
(from ‘j’aime bien manger j’aime bien boire’ 7 inch, 60’s, disques bam)
11 demain commence aujourd’huii – orchestre tuperware france
(from ‘demain commence aujourd’hui’ 7 inch, 70’s, vox)
12 love is all – tribu
(from ‘love is all’ 7 inch, 70’s, byg records)
13 dimanche à orly – gilbert becaud
(from ‘dimanche à orly’ 7 inch, 60’s, la voix de son maitre)
14 le tueur – Hubert giraud
(from ‘le tueur’ 7 inch, 70’s, disc az)
15 poursuite à anvers – françois de roubaix
(from ‘jeff’ 7 inch, 70’s, riviera)

vendredi 14 mars 2008

Saison 2 –Episode 6


La déroute départementale
pour cacophonor

Comme chaque année lors du retour de l’été, le directeur ortofon octroyait à notre agent quelques jours de repos fort mérité ; le combat contre cacophonor étant épuisant, il fallait bien ressourcer et reposer notre valeureux agent leCurLing pour qu’il soit au meilleur de sa forme.
Et comme chaque année, l’agent leCurLing, lady Béneloppe et les nainblonds prenaient la route pour la côte d’azur, et c’est au volant de ses konverces (le modèle tissu coloré avec pastille chevillesque de protection, il va de soi) que l’agent leCurLing emmenait la petite troupe au soleil. Bien entendu et comme à l’accoutumée, de nombreux arrêts pipi furent faits, le remplissage de vessie n’étant pas proportionnel aux kilomètres parcourus ni au nombre de voitures croisées, il reste là un mystère que l’agent leCurLing aimerait bien éclaircir, sachant que pour certaines, l’absorption de liquide aqueux est interdit lors des trajets, l’agent leCurLing aimerait savoir ce qui peut remplir ces vessies, enfin bon, on s’éloigne de notre sujet.

Les vacances étaient là et tout le monde en profitait, les uns profitant du soleil, les autres de ces petits pain ronds arrosés d’huile d’olive, remplis de salade, de févette et de tomate, moult fois imités jamais égalé, leCurLing avait même vu de grossières imitations dans du pain viennois ARGH ! Cacophuneste criminel, tu t’attaques à tous, mais tu sais cacophonor que l’agent veille.
Donc tout se passait fort bien, les nainblonds se rappelaient vaguement l’existence d’un parc animalier dans les environs, mais il fut facile de le remplacer par un parc municipal en précisant que l’autre était très loin et qu’ici n’existait que celui-ci, au prix en heurau plus abordable, il va de soi.
Mais l’agent leCurLing savait ne pas rester inactif même lors de ses congés, et grâce aux pages jaunes et à un plan de la région, leCurLing avait repéré un de ces fameux lillois trockiste de son état. L’échoppe de ces aimables bonhommes gris et jaunes se trouvait au pays du sent bon. Oui là-haut sur la montagne, le pays du sent bon entouré à perte de vue de champs de fleurs, et au musée du sent bon, qui, si l’agent leCurLing peut se permettre, sent bon mais fort ! une chose est sûre, l’agent leCurLing n’eut pas beaucoup de mal à vendre cette excursion à lady Béneloppe, ravie de visiter ce pays et la boutique du musée.

C’est ainsi que l’équipée sauvagement enthousiaste pour diverses raisons, prit la route au volant de ses quickeurses (le modèle extérieur daim il va de soi) et partit à la rencontre du pays du sent bon. Une fois la voiture garée, visite du musée puis du village fut fait, lady Béneloppe avait grandes provisions de sent bon, mais aussi de savon sent bon, de déo sent bon et même de petit sachet sent bon, “manque plus qu’une boite à cigales amoureuses sent bon” se dit leCurLing. Mais la satisfaction de lady Béneloppe et la fatigue des nainblonds due à la marche dans les rues de la bourgade allaient permettre à notre valeureux héros de passer à la deuxième étape de sa mission : trouver la bâtisse du trockant lillois. LeCurLing, fort des renseignements pris avant le départ, cherchait la ZAC, la Zone d’Achat Clandestin. Tout semblait se dérouler pour le mieux, sauf qu’entre le plan ausculté par notre intrépide agent et la réalité, un grand nombre de rond-point avait poussé. AÏE, la route repérée s’emberlificotait dans le dédale de ces tourniquets qui engraissent les vaguemestres des bourgades contaminées par le fléau rondelet, et c’est à un de ces rond-point aux indications pernicieuses que l’agent leCurLing commit l’erreur de s’engager sur la voie rapide qui menait à la ville voisine. MON DIEU ! aucun moyen de faire demi-tour, pensa leCurLing. Alors que la boutique trockiste s’éloignait, notre agent dépité continuait sa route se disant que cacophonor était quand même for… cément de la partie pour lui avoir joué un tel piège. Mais c’est au moment même où notre héros allait abandonner, attaquant après de longs kilomètres le rond point en bout de voie rapide pour rejoindre l’autoroute, qu’il aperçut un autre hangar trockant. OUF, la ville d’à côté avait elle aussi ces lillois trockeurs. L’agent leCurLing s’engagea dans la rue du trockeur et put récolter de nombreux indices. ET, cerise sur le gâteau, était installée à côté de ce trockeur une sympathique brocante qui vendait moult indices à prix également dérisoires. Te voilà encore vaincu cacophonor, tu as beau transformer les routes et racketter les braves gens avec tes radars, leCurLing aura toujours raison de toi.
Depuis, l’agent leCurLing a visité le trockeur du pays du sent bon et à fait belle moisson. Mais la menace cacophuneste a fait qu’il n’y a plus d’indices en vente chez ces lillois ; l’agent leCurLing n’en a cure car il connaît la région et sait où trouver des indices, en plus il n’est plus obligé d’aller au pays du sent bon qui sent quand même hyper fort !


BRUTDEGROOVE – SAMPLER – 6
A VAINCRE SANS PERIL,
ON TRIOMPHE SANS GROOVE


Vous êtes le numéro 6 !, je ne suis un pas un numéro je suis un sampler libre un sampler libre et funky avec ce titre de Michel Polnareff pour la b.o. du film Lipstick puis on poursuit sur le fil du rasoir d’une ligne de basse torride avec le Devils Gun de CJ and Co et si les gun sont de sorties il nous faut un flic d’enfer alors on sort le Baretta’s Theme interprété par The Film Festival Orchestra, de manière sexy, puis on repart sur un train d’enfer avec les guitares funk du bien nommé Funky Train, ensuite on s’éclate dans le délire musical de Yanko Nilovic avec ce Mao Mao original et délirant, délirant aussi le Thunder d’Electric Team mais en plus rock, maintenant un petit souvenir souvenir avec du madison et du Twist grâce à Georges Jouvin et James Award sans oublier leurs orchestres respectifs, la surprise party bas sont plein que déjà l’on repart chez les indiens avec les C.C.S.B. et leur Sioux City Junction sa sent l’attaque du train appelons Lucky Luke qui grâce aux notes de Claude Bolling dans Le Train va nous sauver, et l’on fini en reprise un petit da di dou di da en disco, tout est dit et David Bowie revu en français par Alain Kan c’est une reprise de fou hou hou hou qui nous met à nu hu hu hu, Alors bonne écoute avec du rythme, des basses, du fuzz mais aussi de l’amour et des violons ! le son est dans le post !


1 lipstick– michel polnareff
(from ‘bande original du film liptick’ 7 inch, 1976 / atlantic)
2 devils gun – cj and co
(from ‘devils gun part one & part two’ 7 inch, 1977 / westbound)
3 baretta’s theme – the film festival orchestra
(from ‘big tv hits’ album, 1977 / springboard)
4 funky train – lolly frizol
(from ‘disco lady’ 7 inch,1979 / carissima)
5 mao mao – mao mao
(from ‘mao mao’ 7 inch, 70’s / carissima)
6 thunder – electric team
(from ‘rocket man’ 7 inch, 1974 / eurodisc)
7 madison in france – georges jouvin
(from ‘madisson in france’ 7 inch, 60’s / pathe marconi)
8 twist epoque – james award et son orchestre
(from ‘peppermint twist’ 7 inch, 60’s / panorama)
9 sioux city junction – c.c.s.b.
(from ‘sioux city junction’ 7 inch, 70’s / ftc)
10 le train – claude bolling
(from ‘lucky luke la ballade des dalton’ album, 1978 / rca)
11 dès que t’as dit disco t’as tout dit – rocky & vandella
(from ‘dès que t’as dit disco t’as tout dit’ 7 inch, 1970 / az)
12 la vie en mars – alain kan
(from ‘star ou rien’ 7 inch, 1973 / vogue)